Celui-ci est de qualité très médiocre, et a souvent été fermenté ou adultéré. D’ailleurs pendant 2 ans, de 2002 à 2004, le miel chinois était interdit dans toute l’Union Européenne.
Comme l’étiquetage ne mentionne en rien l’origine précise des miels, seule l’analyse pollinique permet de savoir où ce miel a été produit.
Le Cetam a donc procédé à l’analyse de 23 miels polyfloraux de diverses origines, achetés dans des enseignes de grande distribution, et 4 miels âgés de 8 mois et produits par des apiculteurs français afin de déterminer s’il y a eu ou non adultération et fermentation. Pour le savoir, ils mesurent le taux de glycérol, un alcool produit par les levures lors de la fermentation.
Pour être sûr de la qualité et de la pureté du miel que l’on achète, mieux vaut privilégier les apiculteurs locaux. La mention « récolté et mis en pot par l’apiculteur » est un gage de qualité.
Au niveau du contenant, préférez bien sûr les pots en verre : les pots en plastique risquent de contenir du bisphénol A.
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