« À moins que votre médecin ne vous dise le contraire, arrêtez de gaspiller votre argent en achetant ces sept suppléments. » – Dr Gundry

L’utilisation de suppléments alimentaires est une pratique courante dans la quête d’une meilleure santé et d’un bien-être optimal. Toutefois, il est crucial de distinguer entre ceux qui sont véritablement bénéfiques et ceux dont l’efficacité est remise en question. Dans une vidéo, le Dr Gundry met en lumière sept suppléments spécifiques dont l’utilité pourrait ne pas être à la hauteur des attentes. Cet article se propose de détailler ces suppléments, en se basant sur les explications et les données scientifiques présentées, afin de vous aider à faire des choix éclairés.

1. Suppléments de calcium

Les suppléments de calcium ne garantissent pas une meilleure santé osseuse et pourraient même déposer du calcium dans les vaisseaux sanguins. Les aliments naturels comme les légumes à feuilles vertes foncées et certains poissons sont des sources plus sûres de calcium.

2. Multivitamines

Les multivitamines sont souvent basées sur des études obsolètes et ne reflètent pas les besoins réels en vitamines et minéraux. La quantité de vitamine D nécessaire pour prévenir le cancer, par exemple, est bien supérieure à celle présente dans la plupart des multivitamines.

3. Vitamine C régulière

La vitamine C en comprimés classiques est rapidement éliminée de l’organisme. Des formes à libération prolongée ou des petites doses régulières sont plus efficaces.

4. Boissons cétogènes

Ces boissons sont coûteuses et ont un goût désagréable. L’huile MCT est une alternative plus économique et efficace pour stimuler la production de cétones.

5. Probiotiques de faible qualité

Beaucoup de probiotiques ne survivent pas à l’acidité de l’estomac. Il est recommandé de choisir des probiotiques résistants à l’acidité ou à libération ciblée dans l’intestin. La plupart des souches probiotiques ne s’installent que temporairement dans notre intestin.

6. Vitamine E

La plupart des suppléments de vitamine E contiennent des formes synthétiques ou non naturelles de la vitamine, qui peuvent être moins efficaces ou même contre-productives par rapport aux formes naturelles trouvées dans les aliments.

7. Fer

Les suppléments de fer peuvent contribuer à l’oxydation et au vieillissement, et ne sont généralement pas nécessaires sauf en cas de carence avérée. Une consommation excessive de fer peut être particulièrement problématique pour les hommes ainsi que pour les femmes ménopausées.

Conclusion

En conclusion, l’expert met en avant l’importance de comprendre les doses appropriées des suppléments et de ne pas se fier aveuglément aux études qui suggèrent que les suppléments sont inutiles, car ces études se basent souvent sur des dosages insuffisants.

Les suppléments peuvent être bénéfiques, mais il est crucial de connaître la dose nécessaire pour obtenir un effet réel.

De plus, il est intéressant de noter que dans les « zones bleues », où les gens vivent plus longtemps, la consommation de protéines ne représente que 10% de l’apport calorique total, soulignant ainsi l’importance d’une alimentation équilibrée.

Source : The Dr. Gundry Podcast