Et si arrêter de consommer du blé était la clé d’une alimentation équilibrée et d’un corps en meilleure santé ?
On nous le présente comme un aliment essentiel, sain et nutritif, si bien qu’il nous semble inoffensif. Mais, raffiné ou entier, avec ou sans gluten, biologique ou non, le blé qui se retrouve dans notre assiette cause en réalité de nombreux dommages au corps qui peine à l’assimiler.
Après avoir incité des milliers de patients à éliminer le blé de leur régime alimentaire, le Dr Davis, cardiologue, a constaté des résultats épatants : perte de poids de 5, 10 ou 40 kilos, retour à la normale des taux de cholestérol, renversement d’un diagnostic de diabète, réduction marquée de l’inflammation et de la douleur, dissipation de troubles intestinaux sévères, augmentation du niveau de concentration et d’énergie, etc. Dans son ouvrage, « Pourquoi le blé nuit à votre santé« , le Dr Davis fournit tous les conseils pour avoir une alimentation saine dans le respect des besoins du corps, et il propose des recettes faciles, à base de produits communs. Moyennant quelques changements à vos habitudes quotidiennes, vous pourrez vivre sans blé, sans kilos en trop et sans vous compliquer la vie !
Et quand il écrit que le blé est un opiacé, ce n’est pas une image !
Il est réellement addictif et à plus d’un titre. Il finit par dominer nos pensées et nos comportements. Si nous n’en consommons pas pendant quelques heures, nous pouvons devenir nerveux, confus, tremblants et c’est là qu’on craque pour notre « dose », mangeant plus que de raison.
Le blé est addictif dans le sens où il y a un réel syndrome de sevrage caractérisé par une fatigue écrasante, un « brouillard » mental, une incapacité à faire de l’exercice et même une dépression, qui peut durer quelques jours à quelques semaines.
Ce qui est sûr c’est que l’idée de se passer de pain, de pâtes, de biscuits nous fait paniquer !
C’est un mauvais moment à passer, mais le jeu en vaut la chandelle, sachant que le blé, en se reliant aux récepteurs opiacés du cerveau, ne fait pas planer, mais donne FAIM. On doit cet effet à la gliadine, la protéine du blé qui a été modifiée par les généticiens dans les années septante pour augmenter les rendements, et qui en ont fait involontairement un puissant stimulant de l’appétit.
Pour la plupart des gastro-entérologues, si vous ne souffrez pas de la maladie de cœliaque, vous pouvez consommer autant de blé que vous le souhaitez, et ne pas penser au dérèglement de votre appétit ni les trouble intestinaux engendrés par les lectines du blé (ballonnements, colon irritable, colopathie fonctionnelle). A vous de voir !