Si on vous annonce que vous avez une tumeur, cancéreuse ou pas, vous allez sans doute être très inquiet et il est fort possible qu’on vous prescrive un protocole de chimiothérapie plus ou moins agressif afin d’en venir à bout ou, au moins, d’en réduire la taille pour pouvoir opérer. Avant de vous lancer dans des protocoles officiels dont vous ne savez dans quel état vous ressortirez, essayez notre protocole naturel. Il est très simple et associe la bromélaïne, la vitamine C liposomale et le lapacho. Cela ne vous prendra que quelques semaines et les résultats peuvent être spectaculaires.
Depuis longtemps, je connaissais l’existence de la bromélaïne (une enzyme active couramment nommée bromélase) que l’on tire de la tige d’ananas, au même titre que la papaïne de papaye, signalées toutes deux en particulier par le Dr Levy dans sa panoplie d’adjuvants anti-cancéreux. Bref, un remède parmi tant d’autres.
Il y a une dizaine d’années, un ami médecin et (bon) cancérologue, le Dr L.G. – dont je ne dévoile pas le nom ici vu les ennuis qu’il a déjà essuyés (comme tous les bons) – et à qui je parlais du Carzodélan scandaleusement supprimé depuis, me dit : « pourquoi t’embêtes-tu avec ces piqûres qui coûtent cher (non remboursées) alors qu’il existe l’Extranase en pharmacie, qui coûte » trois francs-six sous » ? ».
Derechef, je me mis en devoir de signaler l’Extranase dans le journal qui s’appelle aujourd’hui « Principes de Santé ». Hélas, le seul retour que j’ai eu, a été une lettre d’une abonnée pas contente car allergique à l’ananas : elle avait eu des réactions très désagréables. Je finis par conclure que c’était une piste minée et j’ai laissé tomber.
L’expérience déterminante de Monsieur Pierre
Le temps passa, et un jour, je reçus un coup de téléphone d’un certain Monsieur Pierre L. de Bretagne qui me dit : « Monsieur Dogna, grâce à vous, je fais de véritables miracles », (étonnement)… il poursuit :
« Il y a un an, je suis tombé sur un de vos articles qui parlait de l’Extranase et voilà ce qui est arrivé : Christelle une petite cousine est venue passer quelques jours chez nous. Elle avait un gros chagrin car sa petite chatte allait être opérée de 2 tumeurs cancéreuses, une moyenne et une très grosse. Je lui dis d’appeler sa maman, de lui demander d’acheter une boîte d’Extranase à la pharmacie, ainsi que de calculer la dose à donner en fonction du poids de la chatte, sachant que pour un homme la posologie était officiellement de 3 comprimés 3 fois par jour. La maman ne se cassa pas la tête : elle acheta l’Extranase sans trop y croire et donna 3 comprimés à la chatte. C’était 24 heures avant l’opération. La chatte avait en fait ingurgité 10 fois la dose en rapport avec son poids. A l’opération, le lendemain, il apparut que la tumeur moyenne avait disparue complètement et que dans la grosse tumeur, il n’y avait plus que de l’eau. Depuis la minette est en très bonne santé».
Une astucieuse déduction
Suite à cette expérience de, Monsieur Pierre L. en vint à penser que si l’Extranase n’avait pas habituellement d’effets plus déterminants sur le cancer, c’est que le médicament était très sous-dosé.
À cette époque nous avions donc calculé que la dose d’attaque d’Extranase pouvait être sans risque (sauf allergie connue) de 1 comprimé par kilo, qu’il s’agisse d’un humain ou d’un animal. Cela représentait tout de même environ 75 comprimés… presque une boîte entière ! Pour une tumeur jeune, cette dose unique pouvait suffire, mais, il fallait souvent continuer plusieurs jours à demi-dose (soit 1 comprimé pour 2 kg) le temps nécessaire pour que la tumeur disparaisse, cancéreuse ou non. Autre inconviénient, les comprimés d’Extranase continennent du dioxyde de titane.
Or il existe maintenant de la bromélaïne gastrorésistante dosée soit à 200 mg(vous en trouverez ici) soit à 400 mg (ici). Chaque gélule équivalant à 13 Extranases (200 mg) ou 26 Extranases (400 mg). Il faut impérativement que ces gélules soient gastro-résistantes afin d’éviter que l’estomac utilise les enzymes de la bromélaïne pour la digestion. Mais, à cette seule condition, le traitement devenait d’une simplicité absolue.
Le vieux chien des voisins
La pauvre bête avait une tumeur de 7 cm d’épaisseur et ses maîtres ne voulaient pas le soigner vu son âge. Monsieur Pierre parvint à les convaincre de lui donner de l’Extranase ainsi qu’indiqué plus haut. Dix jours après, les grosseurs avaient totalement disparu. Le chien mordillait la peau détendue et il en sortait de l’eau. Depuis, aucune trace de tumeur n’est réapparue.
Des confirmations scientifiques officieusement reconnues
La mise à jour de la fiche bromélaïne effectuée par les chercheurs Pierre Lefrançois et Françoise Reily – et revue le 23 août 2004 par Jean Yves Dionne – stipule que, bien que l’on ait obtenu des résultats thérapeutiques positifs en utilisant des doses conventionnelles relativement faibles (160 mg/jour), on a observé des effets plus positifs lorsque le dosage quotidien se situe entre 500 mg et 2000 mg, le tout réparti en 3 ou 4 prises. En fait, des études effectuées sur des rats ont montré qu’il fallait atteindre 5 g par kg pour que les reins donnent des signes de fatigue, ce qui représente, pour un humain de 60 kg, 300 g de bromélaïne.
En ce qui concerne le cancer, l’auteur d’une synthèse publiée en 2001 souligne que des résultats d’études pré-cliniques et pharmacologiques permettent de recommander la bromélaïne par voie orale comme traitement complémentaire dans les cas de tumeurs.
Mais, il apparaît que les résultats des expériences cliniques menées sur 6 mois à 2 ans, bien que positifs sur le plan de réduction des tumeurs et des métastases ainsi que de l’augmentation des défenses immunitaires, n’ont pas été massifs en raison des dosages très insuffisants prudemment préconisés.
Comment les cellules cancérisées se défendent
Parmi les globules blancs, il existe une sorte de leucocytes tueurs nommés les NK (Natural Killers) qui ont pour mission d’injecter dans les cellules cancéreuses une substance toxique mortelle : la tumostérone – un dérivé de la vitamine D2. Afin de se protéger de ces attaques, les cellules cancéreuses s’entourent d’une substance mucoïde spéciale. Pour pouvoir rendre l’accès libre aux NK, il faut d’abord dissoudre ce mucus. C’est justement ce qu’est capable d’effectuer la bromélaïne. Le résultat est tellement rapide lorsque les doses sont suffisantes, que l’on peut penser à un miracle.
Mais attention aux produits laitiers ! Ils contrarient l’effet de la bromélaïne pour deux raisons : ils renforcent la couche mucoïde des cellules cancéreuses et ils contiennent des hormones de croissance cellulaire rapide (le lait est fait pour les bébés qui doivent grandir vite). Lorsque l’on parle de produits laitiers, il s’agit de tous les produits laitiers sans exception, y compris tout aliment confectionné avec l’un quelconque des dérivés de laitages (et ce n’est pas facile d’y échapper) car, par exemple, 95% des desserts sont à base de produits laitiers.
Dangers du cartilage de requin
Il est connu que les cellules cancéreuses sont des cellules déprogrammées et réinitialisées à l’état de cellules embryonnaires à reproduction rapide. Elles ont donc besoins d’un réseau capillaire important pour acheminer les « vivres ». Cela s’appelle des formations angiogéniques. Les chercheurs, en fins stratèges, ont cherché des moyens pour justement couper ces ponts spéciaux de ravitaillement en introduisant des substances anti-angiogéniques qui les dessèchent en quelque sorte. C’est exactement ce que fait le cartilage de requin, mais aussi ce que visent certaines «chimios» dans la composition de leurs cocktails.
Le problème dramatique est que, une fois ces angiomes tumoraux desséchés, il n’y a plus de voie d’accès pour agir sur les cellules cancéreuses.
Pour cette raison, hélas, la thérapie par la bromélaïne risque fort d’aboutir sur un échec si l’on n’attend pas 8 semaines après une prise de cartilage de requin ou d’une chimio anti-angiogénique. Encore faut-il avoir le temps d’attendre dans la course à la maladie.
Ainsi, Monsieur Pierre, ayant voulu prendre en compte un chien nommé Tagadou atteint d’un cancer avancé, n’a pu le sauver malgré une prise de bromélaïne à haute dose. Trois semaines plus tôt, Tagadou avait été traité à l’extrait de cartilage de requin. Depuis j’ai appris par trois dames dont le mari est mort d’un cancer malgré tous les traitements tentés, qu’ils avaient tous été traités, à un moment donné, avec du cartilage de requin.
Pourquoi y ajouter de la vitamine C ?
Pourquoi le traitement était-il si performant chez les animaux, avec des doses moindres ? Je me suis longtemps posé la question jusqu’à ce que je comprenne que contrairement aux animaux, les humains n’ont – parait-il – pas la faculté de fabriquer quotidiennement de la vitamine C fraîche, à hauteur de 10 g (ramené au poids moyen de l’humain). Ceci explique sans doute les résultats souvent plus spectaculaires chez les animaux, car la vitamine C potentialise l’effet de la bromélaïne (et de la plupart des traitements en général comme l’ont prouvé les travaux de Linus Pauling, double prix Nobel de chimie et de médecine).
Mais attention, il y a au départ deux sortes de vitamine C :
- La vitamine C naturelle (ex : acérola) : la dose maxi journalière ne doit pas dépasser 5 à 6 g (risques de troubles digestifs et de ballonnements).
- La vitamine C de synthèse : le procédé de fabrication est très simple à partir de glucose, comme font les animaux. Si elle est purifiée, tamponnée à pH7 et associée à de la lysine, il y a une excellente tolérance qui peut permettre de monter les doses à 50 g par jour dans certains cas. Dommage que cette forme allotropique n’ait pas sa géométrie moléculaire fidèle au schéma de la molécule naturelle…rien n’est parfait !
Mais il y a mieux maintenant :
La vitamine C liposomale à propos de laquelle j’ai écrit cet article il y a peu de temps. Cette formule micro-enrobée par ultrasons dans de l’huile lui confère un rendement et une pénétration cellulaire exceptionnels. Rappel : 5 g de vit C liposomale = 50 g de vit C de synthèse ou (Vitascorbol) en intraveineuse. Vous en trouverez ici
La dose standart est de 1 cuillère à café par jour (= 1000 mg qui génère l’équivalent de 10 g de vit C). Toutefois, l’on sait que ce besoin quotidien peut doubler ou tripler durant des pathologies ou du stress. Donc le dosage standard peut être augmenté à la demande.
Et pourquoi du Lapacho ?
Le Lapacho ou arbre sacré des Incas, pousse entre le Mexique et le Nord de l’Argentine. C’est un antibiotique, antifongique, stimulant immunitaire, anti-inflammatoire, antiseptique, tonifiant et aussi… un anti-tumoral reconnu de longue date.
Formule gélules
1 gélule / 3kg par jour, en 3 prises – ex : pour 60 kg : 3 fois 7 gélules par jour
Vous en trouverez ici
Formule tisane (décoction économique)
12-15 g pour un litre d’eau – bouillir 10 min – boire 3 tasses par jour (chaud ou froid) –
On l’achète par sachets de 200 g ici.
Contre-indication :
Ayant des vertus anticoagulantes, le lapacho est contre-indiqué en cas d’hémophilie ; pour les gens soignés par des anticoagulants (anti vitamine K, aspirine, héparine, etc.), faisant double emploi, il conviendrait de supprimer provisoirement ces médicaments.
Association bromélaïne GR + Vit C liposomale + Lapacho
En résumé, pour se débarrasser d’une tumeur on peut prendre de la bromélaïne GR seule, l’associer avec de la vitamine C ou avec du Lapacho, mais l’association bromélaïne GR + Lapacho + Vit C liposomale est certainement le mélange le plus performant de tous.
Synthèse posologie
Bromélaïne GR : 2 gélules par jour
Lapacho : 3 fois 7 gélules par jour ou 3 tasses de tisane
Vitamine C liposomale : 1 à 2 cuillère à café par jour
Nota : Habituellement, les résorptions de tumeurs sont très rapides. Mais en médecine rien n’est universel, et même en médecine naturelle, le 100% de réussite n’existe pas. En cas d’échec, inutile de persister au-delà de 3 semaines.
Michel Dogna
Attention : Les conseils prodigués dans cet article ne vous dispensent pas de consulter un praticien des médecines alternatives. Vous pourrez en trouver un près de chez vous et prendre rendez-vous sur annuaire-therapeutes.com
jai besoin davoir une bonne sante
bonjour: monsieur après avoir lu sur votre site,la bromélainne et ses bienfait, j’ai eu un cancer colo rectal avec méta hépat , après 3 opération 1 du colon et 2 du fois dont une réçidive en fevrier 2013 quel conseil pourriez vous me donné .j’ai toujours peur d’une réçidive hépatique merci a vous M devise