La médecine d’Etat considère le cancer comme une menace qu’il faut éliminer à tout prix. Elle y parvient d’ailleurs fort bien, à un petit inconvénient près : la plupart du temps, elle élimine le patient dans la foulée !
Cela ne veut certainement pas dire qu’il faut abandonner les recherches visant à combattre le cancer, puisque passé un certain stade, il peut effectivement devenir nuisible, mais c’est un fait que la peur du cancer est devenue telle que la médecine d’Etat n’hésite pas à utiliser des traitements extrêmement dangereux et mutilants plutôt que de prendre le risque de remettre en question sa vision des choses. Pourtant, d’un point de vue strictement biologique, le cancer n’est ni un bien ni un mal en soi, mais une mesure de dernière urgence, qui n’est utilisée par l’organisme que lorsqu’il ne peut plus faire autrement.
Aujourd’hui, la médecine officielle considère qu’on ne peut pas guérir un cancer : concernant cette maladie, les médecins ne parlent d’ailleurs jamais de guérison, mais simplement de rémission, sous-entendant ainsi que le cancer peut revenir à n’importe quel moment. En réponse, la psychosomatique démontre clairement que le cancer n’est pas une maladie fatale, et qu’elle peut parfaitement être guérie.
Comment ? Depuis toujours, les médecins savent qu’il y a des cas de « rémission spontanée » du cancer, c’est-à-dire des cas de patients dont les cancers semblent avoir disparu de façon mystérieuse, littéralement résorbés par l’organisme, et ce généralement alors que les malades avaient atteint un stade terminal.
Or, dans un grand nombre de ces cas, on observe que la guérison est précédée d’une violente infection bactérienne. Pourquoi ? Parce que, lorsqu’un conflit déclencheur est résolu, l’aire cérébrale affectée est restaurée, le cerveau ordonne à l’organe concerné de cesser de produire des cellules cancéreuses, et déclenche alors un programme de nettoyage destiné à se débarrasser du cancer, désormais inutile. C’est alors qu’apparaissent des mycobactéries, dont la fonction spécifique est de détruire les tumeurs.
C’est ainsi que le Dr Didot, un médecin français du XVIIIe siècle, remarquait que les prostituées qui avaient la syphilis ne développaient presque jamais de cancer, et que, parmi les 20 patients ayant à la fois la syphilis et le cancer qu’il avait pu observer dans sa carrière, 14 avaient guéri par rémission spontanée du cancer. De façon générale, on peut voir que ce sont les régions du monde où les maladies infectieuses comme la malaria, la syphilis ou la tuberculose sont le plus répandues sont aussi celles où l’on recense le moins de cancers.
Dans le cas d’une personne qui contracte la syphilis, la guérison du cancer est une conséquence accidentelle, mais, dans le cas de quelqu’un qui a résolu le conflit, l’infection est un moyen naturel utilisé par l’organisme pour guérir. Tout comme le cerveau génère des cancers, il génère aussi des bactéries particulièrement efficaces dans l’élimination des tumeurs.
C’est d’ailleurs sur cette base que le Dr Sam Chachoua, un cancérologue d’origine australienne, a développé ce qu’il appelle la « thérapie par rémission induite », méthode inspirée par celle du Dr William Coley et du Dr Henry Heimlich, qui consiste à guérir les patients atteints de cancers en provoquant une infection contrôlée.(1)
Toutefois, même si cette approche donne de très bons résultats immédiats (Chachoua cite plus de 99% de rémissions) et si elle est nettement moins meurtrière que la chimiothérapie ou la radiothérapie, elle a pour inconvénient de ne soigner, elle aussi, que des symptômes, le cancer ayant tendance à se réinstaller tant que le conflit n’est pas résolu.
Les travaux de ces médecins, toutefois, complètent bien ceux de la psychosomatique et de la psychobiologie, et montrent que le corps a à sa disposition les moyens de se débarrasser du cancer. Ils expliquent aussi pourquoi les résultats de la médecine hospitalière concernant le cancer sont aussi faibles, et le taux de mortalité aussi élevé. Dès que la température du patient s’élève trop, dès que les médecins ont la moindre suspicion d’infection dans l’organisme, ils prescrivent des antibiotiques. Or, comme les antibiotiques détruisent les bactéries que le corps génère pour nécroser la tumeur, cette dernière ne peut pas disparaître, sauf par l’utilisation de la chirurgie. Là encore, le manque de confiance de la médecine à l’égard de l’intelligence du corps humain me semble être la vraie cause du mal.
Boris Syrbey
(1) Vidéo où le Dr. Chachoua, dans le cadre de la présentation de sa thérapie, démontre de façon éclairante la relation statistique entre le cancer et les maladies mycobactériennes.
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