EN BREF
- La recherche a trouvé un lien fort entre l’exposition à l’aluminium et la maladie d’Alzheimer. Les patients atteints d’une mutation génétique qui les prédispose à l’apparition précoce de la maladie d’Alzheimer et à des maladies plus agressives présentent un taux en aluminium universellement élevé dans leur cerveau
- Selon un chercheur britannique, sans aluminium dans le cerveau, la maladie d’Alzheimer ne se développe pas
- Lorsque l’aluminium a été approuvé pour la première fois dans les vaccins, il l’a été en raison de son efficacité. Il n’a jamais été testé pour la sécurité. Il était simplement supposé être sûr
- Il a été démontré que l’aluminium provoque un dysfonctionnement mitochondrial et une déplétion en adénine triphosphate (ATP), ce qui ouvre la voie à pratiquement toutes les maladies chroniques. Les sels d’aluminium peuvent augmenter les taux d’activation gliale, les cytokines inflammatoires et la protéine précurseur amyloïde dans le cerveau
Dr. Mercola
Pendant des années, j’ai averti que l’aluminium représente un risque neurotoxique grave impliqué dans l’augmentation des taux d’autisme et de la maladie d’Alzheimer (MA). J’ai également averti que les vaccins sont une source importante à l’origine d’une telle exposition et peuvent être l’une des pires, car, du fait de l’injection, l’aluminium contourne les systèmes naturels de filtration et de détoxification de votre corps.
Mes commentaires ci-dessus furent l’une des raisons pour lesquelles l’arbitre mondial autoproclamé des fausses nouvelles, NewsGuard, a refusé de nous donner le « feu vert » en tant que site qui suit « des normes fondamentales d’exactitude et de responsabilité ». En d’autres termes, nos rapports sur les dangers de l’aluminium ont été considérés comme des « fausses nouvelles ».
Non seulement mes rapports antérieurs étaient basés sur des données scientifiques publiées, mais nous disposons maintenant d’une autre étude, publiée dans le Journal of Alzheimer’s Disease, qui relie fortement la MA à l’exposition à l’aluminium. Tel que rapporté par SciTech Daily :
« Les chercheurs ont trouvé des quantités importantes d’aluminium dans le tissu cérébral des donneurs atteints de MA familiale. L’étude a également révélé un degré élevé de colocalisation avec la protéine bêta-amyloïde, ce qui conduit à une apparition précoce de la maladie.
« Il s’agit de la deuxième étude confirmant une accumulation cérébrale significativement élevée dans la maladie d’Alzheimer familiale. Toutefois, elle est la première à démontrer une association sans équivoque entre la localisation d’aluminium et de bêta-amyloïde dans la maladie.
Cela montre que l’aluminium et la bêta-amyloïde sont intimement entrelacés dans la neuropathologie », a expliqué le chercheur principal Christopher Exley, PhD, Birchall Center, Lennard-Jones Laboratories, Keele University, Staffordshire, Royaume-Uni. »
L’association entre l’aluminium et la bêta-amyloïde
Pour mieux comprendre le lien entre l’exposition à l’aluminium et la génération de bêta-amyloïde, les chercheurs ont examiné le tissu cérébral des donneurs diagnostiqués avec la maladie d’Alzheimer familiale qui présentaient également une mutation génétique spécifique connue pour augmenter le taux de bêta-amyloïde, conduisant à une apparition précoce de la maladie et à une plus grande agressivité.
Les taux d’aluminium ont été comparés aux témoins sans diagnostic de maladie neurologique. Des différences frappantes ont été constatées entre ces deux groupes. Les donneurs porteurs de la mutation génétique présentaient un taux en aluminium universellement élevé.
Alors que tous les échantillons avaient un certain taux d’aluminium, 42 % des échantillons de ceux atteints de la maladie d’Alzheimer familiale présentaient un taux d’aluminium « pathologiquement significatif » et l’aluminium était principalement colocalisé avec des plaques de bêta-amyloïde. Tel que rapporté par SciTech Daily :
« Les résultats suggèrent fortement que les prédispositions génétiques connues pour augmenter la bêta-amyloïde dans le tissu cérébral prédisposent également les individus à accumuler et à retenir l’aluminium dans le tissu cérébral… »
« On pourrait envisager une augmentation de la bêta-amyloïde dans les tissus cérébraux en réponse à un taux élevé en aluminium, ou que l’aluminium favorise l’accumulation de bêta-amyloïde », a déclaré le Dr Exley.
« Quoi qu’il en soit, la nouvelle recherche confirme mon idée que, au cours de la vie normale des humains, il n’y aurait pas de MA s’il n’y avait pas d’aluminium dans le tissu cérébral. Pas d’aluminium, pas de MA. »
La sécurité des adjuvants à base d’aluminium n’a jamais été testée
La conclusion du Dr Exley mérite d’être répétée : « pas d’aluminium, pas de MA ». Sans aluminium, la maladie d’Alzheimer ne se développe pas. Ce ne sont pas de fausses nouvelles. Cette recherche fournit des preuves concluantes et préoccupantes, ce qui signifie qu’il serait stupide à l’extrême de prétendre que l’injection de vaccins contenant de l’aluminium aux nourrissons et aux jeunes enfants est inoffensive.
Comme révélé dans mon entretien de 2015 avec le Dr Lucija Tomljenovic, lorsque l’aluminium a été approuvé pour la première fois pour être utilisé dans des vaccins, il y a environ 95 ans, il a été approuvé en raison de son efficacité. Il n’a jamais été testé pour la sécurité.
Même la limite totale autorisée était basée sur des données d’efficacité et non sur des données de sécurité. On a simplement supposé que c’était sûr.
Les effets biologiques de l’aluminium
Le Dr Exley souligne également que l’aluminium peut endommager votre fonction cérébrale en :
- Influençant négativement la fonction et la survie neuronale
- Augmentant l’activité rédox dommageable
- Perturbant la signalisation intracellulaire du calcium, ce qui affaiblit systématiquement les défenses cellulaires
- Aggravant les effets néfastes d’autres métaux lourds
- Influençant l’expression des gènes
Un article de 2010 a également souligné que les sels d’aluminium « peuvent augmenter les niveaux d’activation gliale, les cytokines inflammatoires et les protéines précurseurs de l’amyloïde dans le cerveau » et que « le vieillissement normal du cerveau et, dans une plus large mesure, la maladie d’Alzheimer sont associés à des taux de base élevés de marqueurs de l’inflammation. »
De même, un article de 2018 du Journal of Research in Medical Sciences cite des recherches montrant que l’aluminium affecte :
- Le transport axonal
- La synthèse de neurotransmetteurs
- La transmission synaptique
- La phosphorylation ou déphosphorylation des protéines
- La dégradation des protéines
- L’expression des gènes
- La peroxydation
- Les réponses inflammatoires
En ce qui concerne l’altération de l’expression des gènes, l’aluminium s’est révélé en être capable via de nombreuses voies et mécanismes différents, notamment :
- La liaison au complexe histone-ADN
- L’induction des modifications conformationnelles de la chromatine
- L’induction des modifications topologiques de l’ADN
- La diminution de l’expression du neurofilament
- La diminution de l’expression de la tubuline
- La modification de l’expression des gènes des neurofilaments
- La modification de l’expression de la protéine précurseur de l’amyloïde
- La modification de l’expression de l’énolase spécifique aux neurones
- La diminution de l’expression du récepteur de la transferrine
- La modification de l’expression de l’ARN polymérase I
- La modification de l’expression des gènes marqueurs du stress oxydatif, tels que la SOD1 et la glutathion réductase
- La modification de l’expression de la sécrétase bêta-APP
Surtout, comme indiqué dans le Journal of Research in Medical Sciences, l’aluminium s’est révélé « provoquer un dysfonctionnement mitochondrial et une déplétion de l’adénine triphosphate (ATP) », ce qui ouvre la voie à pratiquement toutes les maladies chroniques, pas seulement les maladies neurodégénératives.
L’aluminium est une neurotoxine prouvée
Les dangers pour la santé de l’aluminium sont également abordés dans une revue scientifique de 2017, publiée dans la revue allemande Deutsches Ärzteblatt International, qui examine également les valeurs seuils associées à divers types d’exposition.
« Les effets neurotoxiques de l’aluminium sur l’homme et ses effets embryotoxiques sur des modèles animaux ont été prouvés », indique l’article, ajoutant que, si la toxicité aiguë de l’aluminium ingéré est faible, une exposition et une accumulation à long terme sont associées à des effets neurotoxiques, entraînant une désorientation, des troubles de la mémoire et la démence. Comme indiqué dans cet article :
« En plus d’induire un stress oxydatif et de se lier à des structures membranaires chargées négativement dans les neurones, l’aluminium est capable de modifier les voies de signalisation du calcium hippocampique qui sont cruciales pour la plasticité neuronale et, par conséquent, pour la mémoire. Les neurones cholinergiques sont particulièrement sensibles à la neurotoxicité de l’aluminium qui affecte la synthèse du neurotransmetteur acétylcholine. »
L’aluminium, en tant que facteur de risque de troubles neurologiques, est également détaillé dans un article de 2018 du Journal of Research in Medical Sciences. Ici, les auteurs notent à nouveau « qu’il est largement admis que [l’aluminium] est une neurotoxine reconnue qui pourrait provoquer une neurodégénérescence ». Ils soulignent également que l’aluminium « affecte plus de 200 réactions biologiques importantes et provoque des effets négatifs sur [le] système nerveux central ».
L’aluminium est détecté dans les organes un an après la vaccination
Une étude de 2013 a apporté un éclairage important sur l’alun, un adjuvant de vaccin et un « composé nanocristallin » qui s’est révélé former spontanément des « agglomérats de taille micro / submicronique ». Selon cet article :
« L’alun est parfois détecté dans les cellules de la lignée des monocytes longtemps après l’immunisation chez des individus vraisemblablement sensibles présentant des manifestations systémiques / neurologiques ou un syndrome auto-immunitaire (inflammatoire) induit par des adjuvants (SAIA)…
L’injection intramusculaire de vaccin contenant de l’alun était associée à l’apparition de dépôts d’aluminium dans des organes distants, comme la rate et le cerveau, où ils étaient encore détectés un an après l’injection…
Les particules se sont accumulées linéairement dans le cerveau jusqu’à la fin du délai de six mois. Elles ont d’abord été retrouvées dans les cellules périvasculaires CD11b+, puis dans la microglie et d’autres cellules neurales… La translocation cérébrale n’a pas été observée après injection intraveineuse directe, mais elle a significativement augmenté chez la souris dont la barrière hémato-encéphalique est modifiée de manière chronique…
L’augmentation continue des doses de cet adjuvant peu biodégradable dans la population peut devenir insidieusement dangereuse, en particulier en cas de surimmunisation ou de barrière hémato-encéphalique immature / altérée ou de production de CCL-2 constitutive élevée. »
De toute évidence, la maladie d’Alzheimer et l’autisme ne sont pas causés par un seul facteur. Votre alimentation et votre style de vie jouent un rôle important, tout comme d’autres expositions toxiques. Pourtant, l’aluminium semble être une préoccupation importante qui ne peut pas être négligée, en particulier en ce qui concerne les vaccins. Peut-on vraiment justifier d’injecter à des nourrissons des doses d’aluminium qui sont toxiques, y compris pour un adulte ?
Pour en savoir plus sur les facteurs qui augmentent votre risque de maladie d’Alzheimer et les stratégies de prévention recommandées, consultez « Les acides gras trans en lien avec un risque accru de maladie d’Alzheimer. »
Source: mercola.com