Drogues pyschiatriques : médicament ou menaces ?

Le citoyen français est le plus gros consommateur de médicaments psychiatriques en Europe.

Plus de 20 millions d’entre nous – soit une personne sur trois – ont pris un psychotrope dans leur vie.

Au vu d’une telle consommation de médicaments psychiatriques, on pourrait penser que l’état mental des Français serait l’un des plus sains au monde.

Pourtant… ce n’est pas le cas.

Un Français sur sept a été diagnostiqué dépressif.
La France occupe la troisième place en matière de taux de suicide des pays européens.
Aussi, il faut nous poser cette question : ces psychotropes sont-ils vraiment efficaces ou constituent-ils plutôt une menace ?

Pour obtenir plus d’informations sur les drogues psychiatriques et les solutions de remplacement, ou pour signaler des cas d’abus psychiatriques, contactez www.ccdhbretagne.org

4 commentaires à “Drogues pyschiatriques : médicament ou menaces ?”

  1. Mon dernier ouvrage dénonce l’enfermement arbitraire en psychiatrie et les effets ravageurs des médicaments et autres méthodes barbares comme les électrochocs.
    « Maria la folle du Pré » (mon site). Bien cordialement
    Jacqueline Biheu

  2. blank LINE dit :

    Moi je suis une femme âgé de 52 ans depuis l’âge de 20 ans que je prends du RIVOTRIL(CLONAZÉPAM) est-ce que c est dangereux pour moi et est-ce que je devrais lâcher lentement le MÉDICAMENT sur les ordres de mon médecin de famille CE QU ON APPELLE LE SEVRAGE…
    J’ATTENDS DE VOS NOUVELLE LE PLUS TÔT POSSIBLE

    MERCI DE VOTRE COLLABORATION

    • blank admin dit :

      http://www.eurekasante.fr/medicaments/vidal-famille/medicament-mrivot01-RIVOTRIL.html
      « Attention
      La modification de votre traitement antiépileptique peut, dans de rares cas, s’accompagner de la réapparition de convulsions même si aucune crise n’est survenue depuis une longue période.
      Une prise prolongée, surtout à doses importantes, de médicaments de la famille des benzodiazépines peut provoquer une dépendance. Ce risque de dépendance est accru chez les personnes ayant déjà présenté une dépendance à d’autres médicaments, substances ou à l’alcool.
      L’arrêt brutal de ce médicament expose à un syndrome de sevrage : insomnie, maux de tête, anxiété importante, douleurs musculaires, irritabilité, agitation, fourmillements des extrémités, convulsions. Il faut donc s’entourer de conseils médicaux pour diminuer progressivement les doses et espacer les prises, sur une période d’autant plus longue que le traitement a été prolongé.
      Ce médicament expose à un risque de chute chez la personne âgée ayant l’habitude de se lever la nuit.
      Une adaptation de la posologie peut être nécessaire chez les personnes âgées ou souffrant d’insuffisance hépatique ou d’insuffisance rénale.
      Évitez les boissons alcoolisées : augmentation du risque de somnolence.
      Attention : conducteurCe médicament peut induire une somnolence, parfois intense chez certaines personnes. Cette somnolence peut être augmentée par la prise d’alcool ou d’autres médicaments sédatifs. La conduite et l’utilisation de machines dangereuses sont déconseillées, surtout dans les heures qui suivent la prise du médicament. »

    • blank admin dit :

      Bonjour,
      Je vous conseille, si vous décidez d’arrêter les benzodiazépines, ce qui est une excellente idée, de les diminuer de manière très progressive, et de vous aider de certaines plantes: http://www.anxiolytiques.net/anxiolytiques-naturels/les-plantes-pour-decrocher-des-anxiolytiques/

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