En Finir avec Pasteur ?
Par Nos Libertés le dimanche 17 mai 2009
Le docteur Éric Ancelet a rédigé, en 1998, un ouvrage passionnant sur les
vaccins et la médecine en général, dont nous vous conseillons chaudement
l’acquisition. « Pour en finir avec Pasteur » démonte, en 250 pages, plus d’un
siècle de dogmes autour des vaccins et de la médecine allopathique,
maintenues en place par les dirigeants religieux, scientifiques, étatiques et
industriels, grâce à l’ignorance et la peur. La maladie est dans la majorité des
cas le symptôme d’un conflit, un signal d’alarme que quelque chose ne va pas
dans notre vie. Faire la guerre aux virus, aux microbes, aux cancers est aussi
absurde que la guerre chimique qui se déroule dans notre agriculture, où les
sinistres camps de concentration de l’élevage intensif des animaux. À l’heure
où la propagande bat son plein au sujet d’une supposée grippe porcine, peste
noire de 2009, que l’OMS et ses amis industriels vont tenter d’éradiquer à
coup de vaccin, ce livre est d’une actualité brûlante.
noire de 2009, que l’OMS et ses amis industriels vont tenter d’éradiquer à
coup de vaccin, ce livre est d’une actualité brûlante.
Extraits :
« Les rares médecins restés fidèles à la tradition, qui s’évertuent à redonner à
leurs malades les moyens de retrouver la santé, butent chaque jour sur un
obstacle colossal, quasi insurmontable, lourd, rigide et épais, comme tous les
dogmes : le mythe pastorien de l’origine bactérienne des maladies. »
[…]
« Cette bévue fondamentale, grandiose par l’universalité de sa totale
acceptation, a verrouillé pour un siècle l’éducation patiente des foules à la
Santé. Désormais figée dans la certitude matérialiste, la Médecine a suivi le
chemin facile des petits esprits, de ceux qui voient l’ennemi partout, le tuent à
l’arme antibiotique ou le trompe par ruse vaccinale. »
[…]
« L’éducation parentale, scolaire, universitaire, comme l’information civique et
médico-sociale, nous ont tôt appris à considérer tout microbe comme
potentiellement pathogène et toute maladie comme potentiellement
microbienne. »
[…]
« Celui, celle ou ce qui est pur, propre, prospère, sain, hygiénique, qui par
ailleurs sent bon et que l’on peut toucher ou ingérer sans risques, est par
définition indemne de germes, autrement dit non contaminé, parfaitement
aseptique. »
[…]
« Celui, celle ou ce qui, par contre, est douteux, négligé, sale, « caca », souillé,
insalubre, puant, répugnant, infect est forcément septique, grouillant de
microbes responsables de toutes les pestes et prêt à sauter au nez de qui s’en
approche. »
[…]
« Il faut donc réagir, tenir propre, laver, récurer, ébouillanter, empoisonner,
désinfecter, pasteuriser, stériliser, antibiothérapiser et bien sûr vacciner pour
prévenir, éviter, rejeter, neutraliser, détruire l’Autre, et corrélativement
immuniser, défendre, isoler, garantir, assurer et sécuriser, préserver,
perpétuer, conserver, immortaliser, momifier le Moi. »
[…]
« Selon Rudolf Steiner, « le matérialisme moderne est né de la peur. » Et « les
êtres qui ont peur sont d’involontaires tyrans, des fanatiques de l’ordre,
obnubilés par l’idée de devoir éduquer, discipliner les hommes et les choses
qui les entourent, de devoir à chaque instant en garder le contrôle et la vue
d’ensemble. » »
êtres qui ont peur sont d’involontaires tyrans, des fanatiques de l’ordre,
obnubilés par l’idée de devoir éduquer, discipliner les hommes et les choses
qui les entourent, de devoir à chaque instant en garder le contrôle et la vue
d’ensemble. » »
[…]
« C’est la peur qui, bien plus que le microbe, est redoutablement contagieuse et
pathogène. Si la médecine universitaire crée et entretien l’anxiété en agitant
en permanence l’épouvantail terrifiant de la maladie, il est certainement
aberrant et stérile de se contenter d’agiter en face celui des vaccins, dans un
sordide rapport de force à qui terrorisera le plus. »
[…]
« Sauf si l’information sur les effets délétères des vaccinations s’accompagne
d’une éducation susceptible de générer un véritable changement de
conscience, une évolution intérieure positive qui transcende la peur, toutes les
peurs. »
[…]
« Le lien actuellement restauré de la Médecine avec la Métaphysique, ou ce
qu’il convient de nommer avec prudence « spiritualité », amène de plus en plus
de médecins et chercheurs en biologie à renouer avec l’antique tripartition
humaine (corps, âme, esprit), par l’intermédiaire d’une démarche
thérapeutique globale, holistique, centrée sur l’écoute du patient et le recours
à des méthodes non iatrogènes (diététique, homéopathie, acupuncture,
ostéopathie). »
[…]
« Les nations modernes ont fait de la Science une religion universelle, qui
permet à ses promoteurs de faire triompher certains concepts ou idées par
tous les moyens de tirer profit des circonstances sociales, d’imposer
pragmatiquement, et même politiquement, certaines croyances et certaines
pratiques. Ainsi la Science peut s’emparer des inconscients collectifs,
intimider, semer la confusion, et les scientifiques façonner le monde au
détriment de ses habitants. Mais est-il sûr que les méthodes employées
mènent à la vérité ? »
tous les moyens de tirer profit des circonstances sociales, d’imposer
pragmatiquement, et même politiquement, certaines croyances et certaines
pratiques. Ainsi la Science peut s’emparer des inconscients collectifs,
intimider, semer la confusion, et les scientifiques façonner le monde au
détriment de ses habitants. Mais est-il sûr que les méthodes employées
mènent à la vérité ? »
[…]
« Pasteur disait que l’intuition ne vient qu’aux gens préparés à la recevoir.
Mais contrairement à Pasteur, Jenner est un homme de terrain confronté à
un fléau qui tue un demi-million de personnes chaque année en Europe,
surtout les enfants des grandes villes. Il remarque que les vachers atteints de
cow-pox (ndlr : maladie de la vache) n’attrapent jamais la variole, ou
seulement des formes bénignes. Il tente l’inoculation, qui s’avérera d’emblée
un succès : la maladie vaccinale est toujours bénigne, la protection contre la
variole excellente, le risque de propagation nul. Après des siècles d’épidémie,
c’est véritablement un choc historique que connaît l’humanité, tandis que
Jenner prophétise la disparition prochaine de la variole, effectivement
réalisée en 1980. Le succès lui monte très rapidement à la tête. Il croit avoir
saisi une loi de la nature et pose pour principe que « les opérations de la
nature sont généralement uniformes. » Voici l’erreur grossière. L’exception
n’est pas généralisable ! »
[…]
« En ces temps héroïques, sa « vaccination » va se répandre comme une traînée
de poudre, remplaçant partout la dangereuse variolisation. Cette vaccination
est pratiquée dans le monde entier dans la première moitié du dix-neuvième
siècle, par passage de bras en bras, en l’absence de vaches malades. Dès 1800,
soit 22 ans avant la naissance de Pasteur, elle devient un modèle historique
pour le raisonnement médical, un archétype qui fera que toute vaccination
ultérieure sera plus facilement imposée aux populations. Et c’est bien là que le
bât blesse, lorsqu’une technique empirique, dans une situation
épidémiologique unique, devient le fondement d’une théorie universelle. La
concrétisation de cette très grave erreur conceptuelle, nous la devons à
Pasteur. »
épidémiologique unique, devient le fondement d’une théorie universelle. La
concrétisation de cette très grave erreur conceptuelle, nous la devons à
Pasteur. »
[…]
« Prêtre et médecin, Collet affronte en 1870 les massacres de la Commune et
les fléaux de santé au cours de la guerre civile. Face à une épidémie de variole
et ne disposant que d’une dose infime de vaccin, il recourut à la méthode
économique de la dilution infinitésimale. Les malades guérirent et aucun cas
de contagion ne fut constaté, à partir du cinquième jour de la prise par chacun
du vaccin dilué. Cette histoire authentique nous montre qu’il existait, dès
cette époque, une alternative pour la prévention et le traitement des maladies
infectieuses, une autre médecine et une autre façon de concevoir la relation de
l’homme à son environnement. Nous aurions pu alors faire d’autres choix. Et
nous pouvons toujours faire ces choix, car la méthode est toujours
disponible. »
[…]
« Les idées de Pasteur ou Darwin vont servir la cause d’un rationalisme
résolument athée, devenu aujourd’hui un véritable obscurantisme
scientifique. Ce n’est pas le lieu ici de formuler des hypothèses sur ce refus
brutal d’un principe immatériel, cette volonté des savants de couper tout lien
avec la philosophie et la métaphysique. Nous dirons que c’est dans l’air du
temps. Aurions-nous pu faire autrement ? Le fil de la tradition n’est pas coupé
depuis Hippocrate et Paracelse, puisque dans le même temps de grands
penseurs vont eux aussi poser les fondements d’une médecine originale,
proposer la vision rénovée d’un homme créatif à sa juste place dans un
univers sensible, libre et responsable de son évolution individuelle au sein de
sociétés lucides. Il s’agit notamment de Samuel Hahnemann (1755-1843),
père de l’homéopathie, qui expérimente sur l’homme, à commencer par lui-
même, des remèdes analogiques dont l’action est de nature purement
énergétique, ou vibratoire. Il s’agit aussi de Rudolf Steiner (1861-1925), à
l’origine de l’anthroposophie qui fait de l’éducation l’agent thérapeutique par
excellence. L’un et l’autre proposent une philosophie médicale tolérante et
profondément humaine, qui à l’époque ne put s’imposer. »
[…]
« Destiné à l’enseignement, Louis Pasteur entre à l’École Normale en 1843. Il
en sortira Docteur ès sciences, agrégé de physique et de chimie. Autour de 25
ans, des travaux de cristallographie lui permettent d’établir les principes de la
dissymétrie moléculaire du vivant. »
[…]
« La négation par Pasteur d’une « génération spontanée » à partir de manière
inerte était justifiée en son temps, mais elle l’a amené à nier en bloc toute
possibilité de transformation de la matière organique, et à conceptualiser la
théorie erronée du monomorphisme bactérien. Les espèces au sens
darwinien, et tout particulièrement les « espèces microbiennes », sont pour lui
et ses successeurs des entités immuables, susceptibles de muter, mais en
aucun cas de se transformer en autre chose. Or Béchamp, puis Tissot, ont
justement proposé la thèse inverse, les possibles transformations réversibles
de virus en bactéries et de bactéries en mycobactéries (champignons), en
fonction du contexte psychobiologique. La science redécouvre actuellement le
bien-fondé d’une telle approche élargie, en constatant la fragilité voire
l’inexistence d’une barrière d’espèces. D’incessants flux de gènes parcourent
toute la biosphère, tout particulièrement dans le monde microbien qui ne
peut dès lors être strictement caractérisé. Des multitudes de virus dormants
sont inclus dans nos chromosomes sous forme d’ADN, et peuvent être
réactivés par un stress émotionnel ou physique. »
et ses successeurs des entités immuables, susceptibles de muter, mais en
aucun cas de se transformer en autre chose. Or Béchamp, puis Tissot, ont
justement proposé la thèse inverse, les possibles transformations réversibles
de virus en bactéries et de bactéries en mycobactéries (champignons), en
fonction du contexte psychobiologique. La science redécouvre actuellement le
bien-fondé d’une telle approche élargie, en constatant la fragilité voire
l’inexistence d’une barrière d’espèces. D’incessants flux de gènes parcourent
toute la biosphère, tout particulièrement dans le monde microbien qui ne
peut dès lors être strictement caractérisé. Des multitudes de virus dormants
sont inclus dans nos chromosomes sous forme d’ADN, et peuvent être
réactivés par un stress émotionnel ou physique. »
[…]
« Depuis plus d’un siècle quatre dogmes faux, introduits dans la science par
Pasteur, et qu’on peut qualifier de catastrophiques, ont arrêté les progrès de
la bactériologie et de la lutte contre les maladies des êtres vivants, animaux et
végétaux. Ces quatre dogmes sont : la panspermie atmosphérique, l’asepsie
des organismes vivants, la contagion et le monomorphisme.
Panspermie : En premier lieu, tous les germes sont transmis par l’air ambiant,
car ils existent uniquement dans l’environnement et ne peuvent en aucun cas
naître et se développer à partir du milieu intérieur des êtres complexes.
Aseptie des organismes vivants : s’ils pénètrent et se développent à l’intérieur
d’un être vivant considéré a priori comme sain, ils génèrent obligatoirement
un état pathologique. Ainsi sont posés les dogmes de la panspermie
atmosphérique et de l’aseptie des organismes vivants, dont découle celui de la
contagion. Or ces axiomes sont faux, dans le sens où ils affirment contenir la
totalité de la réalité et non seulement certains de ses aspects. Ils sont faux,
tant qu’ils considèrent le germe pathogène comme une entité monomorphe et
seule responsable de telle ou telle maladie. Ils sont faux, lorsqu’ils cherchent à
démontrer que toutes les maladies sont dues à un micro-organisme. Ce qui
était pardonnable hier ne l’est plus aujourd’hui. Les microbes de l’ulcère de
l’estomac, du diabète, du cancer ou de la dépression sont des chimères
obsessionnelles, dignes des médecins de Molière. Les germes existent bien
dans le milieu environnant (panspermie), mais aussi dans un organisme sain
sous forme de virus gènes, inclus dans les chromosomes. Les uns et les autres
sont susceptibles de changer de forme et d’être activés, si la situation psychodans le milieu environnant (panspermie), mais aussi dans un organisme sain
sous forme de virus gènes, inclus dans les chromosomes. Les uns et les autres
sont susceptibles de changer de forme et d’être activés, si la situation psychopsysiologique
du porteur nécessite un réajustement. Autrement dit, le conflit
à l’origine de la « maladie » est antérieure à toute « infection » et le système
immunitaire va moduler le travail des microbes en phase de guérison, afin de
restaurer ce que nous nommons terrain. »
[…]
« Pour Pasteur, chaque famille de micro-organismes est clairement
individualisée, comme le sont les espèces de mammifères. Un staphylocoque
ne peut pas se transformer en autre chose : virus, bactérie ou champignon,
comme un éléphant ne peut devenir une girafe. Il s’agit ici du dogme du
monomorphisme microbien. Voir les choses ainsi, c’est méconnaître
l’extraordinaire plasticité des procaryotes. D’incessantes mutations, comme
celle des virus de la grippe, de l’hépatite ou du sida, qui désespèrent les
fabricants de vaccin, en font des êtres protéiformes impossibles à caractériser
définitivement. »
[…]
« C’est une vision rétrécie et erronée du microcosme qui est enseignée,
génération après génération, aux responsables de la santé. Il en découle un
certain nombre de préjugés et de peurs qui se sont profondément incrustés
dans l’inconscient collectif humain : le microbe est forcément un ennemi. »
[…]
« La guerre a démarré au 19e siècle, avec pour toile de fond la rivalité qui
opposa le champion français Pasteur à son homologue allemand Koch. Elle
est toujours largement pratiquée de nos jours, avec ses applications
techniques auxquelles nous payons un lourd tribut sanitaire et financier. « À
chaque maladie son vaccin. » »
[…]
« L’endogenèse microbienne décrit l’apparition spontanée de micro-
organismes, à partir des structures internes de cellules saines ou en
souffrance. C’est la négation de la panspermie (ndlr : venant de l’extérieur) et
de l’asepsie (ndlr : stérilisation) des êtres vivants. […] La biologie moderne a
pulvérisé les cloisonnements entre virus et gène, par la découverte de gènes
vagabonds (les transposons) et la troublante analogie entre rétrovirus et
rétrotransposons. L’activation du microbe n’est alors plus la cause, mais la
conséquence d’un déséquilibre, dont il faut chercher l’origine ailleurs. »
[…]
« Dans la première moitié du vingtième siècle, le professeur Jules Tissot refait
et prolonge les expériences de Béchamp. Il démontre qu’il suffit de modifier
certains paramètres, pour obtenir des transformations réversibles virusbactérie-
champignon. Il démontre ainsi que les manipulations in vitro,
notamment l’ensemble des préparations permettant l’observation
microscopique, dénaturent les fragiles structures internes des bactéries ou
des cellules. On ne peut, dès lors, observer que des décombres, qui n’ont plus
rien à voir avec la vie. Cette remarque fut faite à Pasteur, qui n’en tint aucun
compte. De nos jours Gaston Naessens, biologiste lillois émigré au Québec,
depuis que la communauté médicale française a censuré ses travaux, visualise
grâce à un microscope de son invention (somatoscope) ce qu’il appelle les
somatides, formes de vie ultra-archaïques et indestructibles, polymorphiques
(ndlr : plusieurs formes) notamment lors d’agression et impliquées dans la
régulation des divisions cellulaires. Les somatides apparaissent comme des
particules brillantes très mobiles. Si cela s’avère exact, ce que nous observons
classiquement entre lame et lamelle n’a que peu à voir avec le milieu vivant en
situation, et, dès lors, toute la biologie cellulaire est dans l’erreur. »
[…]
« Nous redécouvrons aujourd’hui ce que Béchamp et d’autres ont tenté de
montrer, à savoir que la vie microscopique est essentiellement polymorphe et
réagit instantanément à toute perturbation environnementale, y compris de
nature psycho émotionnelle. »
[…]
« Contrarié par ses échecs pour son vaccin contre la rage, Pasteur mit au point
un traitement intensif qui consiste à inoculer très rapidement les moelles les
plus virulentes, parfois en 24 heures, sans attendre la mise en place
progressive d’une certaine tolérance. Mordu le 8 octobre 1886, inoculé selon
cette technique intensive, un enfant de 12 ans meurt le 26 novembre. Le père
porte plainte, alors que Pasteur est absent de Paris. L’autopsie est confiée à un
médecin légiste, doyen de la faculté de médecine de Paris et ami de Pasteur, le
professeur Brouardel. Le bulbe et la moelle de l’enfant, prélevés par
Brouardel, sont inoculés par le Docteur Roux (ndlr : adjoint de Pasteur) à des
lapins, qui ne tardent pas à mourir enragés. Si l’enfant est bel et bien mort de
la rage, le délai entre la morsure et la mort est trop court, pour qu’il s’agisse
de la rage due à la morsure, dont l’incubation est toujours longue. Ce virus
vaccinal a acquis, artificiellement, une durée d’incubation très courte. De
plus, les morts suite à une inoculation sont tous atteints d’une forme de
paralysie, caractéristique de la rage du lapin. Il n’y a donc aucun doute :
l’enfant est décédé suite à la vaccination. Que vont faire nos pastoriens ? C’est
très simple : un faux témoignage, afin de sauver la confiance du public dans la
médecine scientifique et la prévention vaccinale. Brouardel, pourtant chargé
d’une expertise officielle suite à une plainte, va déclarer que l’enfant est mort
d’une crise d’urémie (ndlr : taux élevé d’urée dans le sang). « Si je ne prends
pas position en votre faveur, c’est un recul immédiat de cinquante ans dans
l’évolution de la science. Il faut éviter cela. »
, inoculé selon
cette technique intensive, un enfant de 12 ans meurt le 26 novembre. Le père
porte plainte, alors que Pasteur est absent de Paris. L’autopsie est confiée à un
médecin légiste, doyen de la faculté de médecine de Paris et ami de Pasteur, le
professeur Brouardel. Le bulbe et la moelle de l’enfant, prélevés par
Brouardel, sont inoculés par le Docteur Roux (ndlr : adjoint de Pasteur) à des
lapins, qui ne tardent pas à mourir enragés. Si l’enfant est bel et bien mort de
la rage, le délai entre la morsure et la mort est trop court, pour qu’il s’agisse
de la rage due à la morsure, dont l’incubation est toujours longue. Ce virus
vaccinal a acquis, artificiellement, une durée d’incubation très courte. De
plus, les morts suite à une inoculation sont tous atteints d’une forme de
paralysie, caractéristique de la rage du lapin. Il n’y a donc aucun doute :
l’enfant est décédé suite à la vaccination. Que vont faire nos pastoriens ? C’est
très simple : un faux témoignage, afin de sauver la confiance du public dans la
médecine scientifique et la prévention vaccinale. Brouardel, pourtant chargé
d’une expertise officielle suite à une plainte, va déclarer que l’enfant est mort
d’une crise d’urémie (ndlr : taux élevé d’urée dans le sang). « Si je ne prends
pas position en votre faveur, c’est un recul immédiat de cinquante ans dans
l’évolution de la science. Il faut éviter cela. »
[…]
« Reconnu d’utilité publique en 1887, le nouvel Institut Pasteur est mis sous
tutelle du ministère du commerce et de l’industrie. Ceci révèle clairement les
espoirs très ambitieux que la France place dans l’Institut Pasteur. Louis
Pasteur est ainsi le premier savant au monde qui soit devenu une entreprise. »
[…]
« Le cas Jenner a servi de référent à Pasteur pour établir le vaccin contre la
rage, ses risques et ses mensonges. De même aujourd’hui, le cas Pasteur sert
de référent à ceux qui se permettent les risques et les pieux mensonges du
premier vaccin recombiné contre une maladie CHRONIQUE : l’hépatite B. »
[…]
« De 1980 à 1995, environ 65 000 enfants en Inde ont contracté une
poliomyélite paralytique à la suite d’une vaccination DTC (Diphtérie Tétanos
Coqueluche). Comment l’injection DTC peut-elle provoquer une forme grave,
iatrogène de poliomyélite ? La plupart des enfants du tiers-monde sont mal
nourris, porteurs latents ou chroniques de nombreux virus, notamment en
incubation d’une forme non paralytique de polio. L’OMS recommande que
tous les enfants fiévreux amenés dans les hôpitaux et dispensaires soient
vaccinés, tant qu’on les a sous la main, alors que la fièvre, la malnutrition et
l’existence de maladies infectieuses chroniques constituent une contre
indication majeure à toute vaccination. Dans le but de la « soigner », ces
enfants reçoivent dans une seule séance : antibiotique, adrénaline, cortisone,
et chloroquine avec des aiguilles non stériles. »
[…]
« Dans ses formes graves spontanées, la polio touche principalement de très
jeunes enfants dénutris, en particulier non allaités, car l’incidence de toute
maladie infectieuse sévère de l’enfant est toujours étroitement corrélée à un
défaut d’allaitement maternel et plus globalement à la destruction mondiale
des structures tribales et familiales traditionnelles, avec la malnutrition
généralisée des mères du tiers-monde et le recours à des laits maternisés
industriels, hautement pathogènes pour les enfants. »
[…]
« La santé n’est pas l’absence de maladie, mais une façon de venir, puis d’être
au monde, qui intègre la maladie dans la biographie humaine et la dynamique
générale de l’évolution. La maladie a donc un sens, une signification évolutive
sur le plan individuel et collectif, qu’il nous faut réapprendre à connaître,
apprendre à reconnaître. »
[…]
« LE MICROBE N’EST PAS UN ENNEMI ! » C’est sans doute le dogme le plus
difficile à ébranler et le dernier à tomber. Pourtant, seule la remise en cause
de ce dogme, pourra nous permettre de comprendre l’état déplorable de la
santé mondiale. »
[…]
« Le système immunitaire n’est pas un système de défense, mais un système de
communication et d’information, essentiel pour l’évolution humaine. »
[…]
« Les êtres vivants que nous nommons microbes sont invisibles à l’oeil nu,
constitués d’une seule cellule sans noyau, des procaryotes par opposition aux
eucaryotes unicellulaires ou pluricellulaires, constitué de cellules à noyaux,
dont nous faisons partie. Leur importance est telle que la division
fondamentale ne se situe plus entre règne végétal et règne animal, mais bien
entre eucaryotes et procaryotes. C’est ce que nous expose la microbiologiste
américaine Lynn Margulis, en nous ouvrant les yeux sur un monde fabuleux,
omniprésent autour de nous et en nous, sans lequel aucune vie ne serait
apparue et ne se maintiendrait sur Terre. Nous sommes infiniment loin du
microbe ennemi de Pasteur, vision réductrice et simpliste qui a totalement
faussé notre appréhension de l’écologie planétaire, donc de l’équilibre des
êtres qui peuplent la biosphère. Nous sommes aujourd’hui conviés à
redécouvrir un univers vivant, dont tous les éléments sont étroitement
interconnectés, indispensables les uns aux autres. »
iologiste
américaine Lynn Margulis, en nous ouvrant les yeux sur un monde fabuleux,
omniprésent autour de nous et en nous, sans lequel aucune vie ne serait
apparue et ne se maintiendrait sur Terre. Nous sommes infiniment loin du
microbe ennemi de Pasteur, vision réductrice et simpliste qui a totalement
faussé notre appréhension de l’écologie planétaire, donc de l’équilibre des
êtres qui peuplent la biosphère. Nous sommes aujourd’hui conviés à
redécouvrir un univers vivant, dont tous les éléments sont étroitement
interconnectés, indispensables les uns aux autres. »
[…]
« L’avènement des mammifères, puis de l’homme, n’a naturellement éliminé
aucun embranchement, aucune classe, aucun ordre, aucune famille et surtout
aucun microbe. Tous sont nécessaires à l’équilibre de la biosphère. Seul
l’homme moderne se permet l’inconséquence de détruire des centaines
d’espèce chaque année, ou de poursuivre à outrance une guerre perdue
d’avance contre les procaryotes. Or nous disparaîtrons forcément avant eux,
puisque nous n’existons que grâce à eux. Darwin et Pasteur dans tout cela ?
Que signifie la survie du plus apte ? Apte à quoi et pour combien de temps ?
Un écosystème est d’autant plus stable que le nombre d’individus différents
est important. Le darwinisme classique aboutit ainsi fatalement à une
tautologie : seul celui qui est apte survit, donc tous les survivants sont aptes,
donc seuls les survivants survivent ! Contrairement à ce que l’on croit,
l’évolution ne consiste pas à remplacer des faibles par des forts, ou des
simples par des complexes. Il y a, et il y aura toujours, des proies et des
prédateurs, des petits et des grands, des très simples et des très compliqués,
tous interconnectés et constitutifs de l’organisme géant qu’est cette planète,
elle-même constitutive de cet infini qu’est notre Univers. »
[…]
« Impuissantes et terrorisées, les foules écoutent les devins promettre des
jours meilleurs grâce à la thérapie génique et aux futurs vaccins à ADN nu, si
toutefois les offrandes sont suffisantes. À date fixe, le troupeau va donc en
masse verser son obole lors de la grand-messe du « Téléthon », sans songer que
cet argent alimente grassement les recherches sur le transgénisme et le
clonage. Faisons à nouveau un peu d’histoire. En 1865, le moine jardinier
Gregor Mendel met en évidence la transmission verticale des caractères en
hybridant des petits pois. Mais, il ignore le support de ces caractères et parle
alors de « réalités idéelles ». Le rôle des chromosomes dans cette transmission
sera suggéré en 1910. Dès lors les biologistes jugent inutile de chercher plus
loin, et en 1944 il est décidé que l’ADN est effectivement l’unique support
moléculaire de la transmission de l’hérédité. Il n’est tenu aucun compte de
l’eau, des protéines et encore moins de supports purement vibratoires comme
les biophotons. La cause est entendue, c’est la consécration de l’homme
machine de Descartes, la porte ouverte à l’eugénisme génétique né des
fantasmes de Darwin et de son cousin Galton. Le rationalisme triomphe. Le
destin biologique de l’homme est inscrit dans la matière, réductible à des
processus physico-chimiques, accessible à la technologie et susceptible d’être
modifié selon notre bon plaisir. »
, le troupeau va donc en
masse verser son obole lors de la grand-messe du « Téléthon », sans songer que
cet argent alimente grassement les recherches sur le transgénisme et le
clonage. Faisons à nouveau un peu d’histoire. En 1865, le moine jardinier
Gregor Mendel met en évidence la transmission verticale des caractères en
hybridant des petits pois. Mais, il ignore le support de ces caractères et parle
alors de « réalités idéelles ». Le rôle des chromosomes dans cette transmission
sera suggéré en 1910. Dès lors les biologistes jugent inutile de chercher plus
loin, et en 1944 il est décidé que l’ADN est effectivement l’unique support
moléculaire de la transmission de l’hérédité. Il n’est tenu aucun compte de
l’eau, des protéines et encore moins de supports purement vibratoires comme
les biophotons. La cause est entendue, c’est la consécration de l’homme
machine de Descartes, la porte ouverte à l’eugénisme génétique né des
fantasmes de Darwin et de son cousin Galton. Le rationalisme triomphe. Le
destin biologique de l’homme est inscrit dans la matière, réductible à des
processus physico-chimiques, accessible à la technologie et susceptible d’être
modifié selon notre bon plaisir. »
[…]
« Jean-Claude Perez, chercheur pluridisciplinaire, a découvert un ordre
numérique dans l’ADN, fondé sur des suites mathématiques, comme celle de
Fibonacci, et révélant l’omniprésence du nombre d’or (phi = 1,618) dans
l’agencement des nucléotides. Si cet ordre traduit la stabilité et la cohésion de
l’ADN acquises au cours de millions d’années d’évolution, quel peut être l’effet
d’un transgène introduit au hasard, grâce aux techniques du génie génétique ?
Dans le meilleur des cas, l’organisme receveur peut détruire ou rejeter cette
greffe, qui n’a aucun sens homéostatique ou évolutif. Toutefois, il existe
d’autres scénarios possibles. Du fait des échanges de gènes entre tous les êtres
vivants interconnectés, le risque de contamination de l’environnement par les
organismes génétiquement modifiés est énorme. Une rupture brutale des
myriades de résonances numériques de l’ADN d’une plante ou d’un animal
peut engendrer instantanément des mutations multiples et désordonnées,
totalement incontrôlables. Un véritable chaos biologique. Il ne s’agit pas ici
d’un danger à long terme, mais d’une catastrophe possible à très court terme,
qui peut signifier la destruction de toute la biosphère. »
ophe possible à très court terme,
qui peut signifier la destruction de toute la biosphère. »
[…]
« L’ADN propose, l’ARN dispose. Dès lors, les fonctions de l’ARN sont
infiniment plus importantes que celle de l’ADN. Une découverte qui anéantit,
en un instant, toute prétention à modifier à coup sûr le génome dans un but
eugénique ou thérapeutique. Inclure ou modifier un gène est non seulement
dangereux, mais de plus inutile, si les ARN et le cytoplasme décident en
fonction des informations antérieurement mémorisées, ou reçues de
l’environnement actuel, de ne pas exprimer la protéine attendue. Car détenir
la clé de la synthèse protéique, c’est détenir la clé de la vie. Autrement dit,
nous ne guérirons aucune maladie génique en bricolant le génome, mais
seulement en reprogrammant nous-mêmes nos acides nucléiques, par la prise
de conscience des agressions qui les ont altérés. C’est la seule voie possible
vers la santé. Tout le reste n’est qu’un leurre. »
[…]
« Au-delà des acides nucléiques, à un niveau d’intégration supérieur, les
cellules confédérées, à leur tour, en organisme complexes ont une réelle
autonomie métabolique grâce à une mémoire, localisée dans le cytoplasme et
transmise de proche en proche, depuis les toutes premières cellules
germinales éveillées dès la vie foetale. Ce n’est donc pas l’ADN qui impose un
programme aux cellules, mais les cellules qui utilisent l’ADN et peuvent
modifier l’expression des gènes, en fonction des paramètres de leur
environnement. Le mystère de la morphogenèse embryonnaire s’en trouve
quelque peu éclairci. C’est un nouveau «on croyait que» qui s’effondre. Le
noyau cellulaire n’est pas isolé, et il y a une communication permanente entre
les milieux extérieur et intérieur, entre l’univers et l’ADN, et, nous allons le
voir, entre les virus et l’ADN. On croyait que le code génétique ne fonctionnait
que dans un seul sens : ADN->ARN->protéines. Mais, on se trompait, ce qui
bouleverse totalement nos conceptions déjà fragiles de l’inné et de l’acquis.
Les mandarins s’énervent et la répression commence aussitôt. Le prix Nobel
Jacques Monod nous donne un bon exemple «d’objectivité» scientifique
lorsqu’il congédie son élève Beljanski, qui démontre, avec une grande rigueur
scientifique, que le maître s’est lourdement trompé. Il est possible de passer
de l’ARN à l’ADN ! Et même d’obtenir des acides nucléiques à partir de
protéines ! »
a répression commence aussitôt. Le prix Nobel
Jacques Monod nous donne un bon exemple «d’objectivité» scientifique
lorsqu’il congédie son élève Beljanski, qui démontre, avec une grande rigueur
scientifique, que le maître s’est lourdement trompé. Il est possible de passer
de l’ARN à l’ADN ! Et même d’obtenir des acides nucléiques à partir de
protéines ! »
[…]
« Si les « microbes » échangent librement leur matériel génétique sans dépendre
de la sexualité, très complexe qui caractérise les êtres supérieurs, il ne peut
donc exister d’espèces au sens strict dans le monde bactérien. Ceci rend
caduque le premier dogme de Pasteur, le monomorphisme et éclaire
parfaitement le polymorphisme de Béchamp. Si un éléphant ne peut
effectivement se transformer en girafe, dans le monde microbien tout est
possible. »
[…]
« C’est pour cette raison que les antibiotiques, après avoir surpris le
microcosme, ont favorisé l’émergence de formes résistantes, contre lesquelles
nous sommes totalement désarmés. »
[…]
« Sans doute demain pourrons-nous enfin dire, écrire, diffuser le plus
largement possible à tous les humains : on croyait que les virus n’étaient là
que pour nous rendre malades et nous détruire, or il semblerait qu’il s’agisse
d’une messagerie très perfectionnée, dont le rôle est capital dans le processus
de guérison, par la reprogrammation des acides nucléiques au cours de la
biographie humaine. »
[…]
« Ce jeu de rôles, où l’Autre est toujours mauvais, est un exutoire aux tensions
sociales, nées des vrais problèmes d’ordre politique, économique et social.
C’est la fonction même du bouc émissaire. Or, là se situe aujourd’hui le
problème central de la science, le fait que ces métaphores soient incapables de
décrire ce que les microbes font en réalité. Si rien ne semble bouger dans les
mentalités et dans la pratique médicale, c’est que la métaphore guerrière est
très puissante. Elle détermine depuis plus d’un siècle notre façon de regarder
le microcosme et le macrocosme, le monde naturel et le monde culturel. Sa
permanence est soigneusement entretenue, car elle est un moteur puissant de
l’économie libérale. De même que les marchands d’armes ne peuvent
s’enrichir que s’il y a des guerres, les marchands de médicaments et de
vaccins ne peuvent survivre que s’il y a des maladies. »
décrire ce que les microbes font en réalité. Si rien ne semble bouger dans les
mentalités et dans la pratique médicale, c’est que la métaphore guerrière est
très puissante. Elle détermine depuis plus d’un siècle notre façon de regarder
le microcosme et le macrocosme, le monde naturel et le monde culturel. Sa
permanence est soigneusement entretenue, car elle est un moteur puissant de
l’économie libérale. De même que les marchands d’armes ne peuvent
s’enrichir que s’il y a des guerres, les marchands de médicaments et de
vaccins ne peuvent survivre que s’il y a des maladies. »
[…]
« Voyons à présent la fonction des virus. Ces étranges structures cristallines
porteuses d’une information, deviennent actives après avoir pénétré dans une
cellule. Tous les êtres vivants, des plus simples aux plus complexes,
accueillent des virus : mammifères, oiseaux, reptiles, poissons, mollusques,
insectes, plantes, champignons, bactéries, etc. Tous les êtres vivants
accueillent des virus pour communiquer les uns avec les autres, échanger des
nouvelles et coordonner leur effort évolutif. Pour effectuer sa mission le virus
doit pénétrer à l’intérieur d’un organisme infiniment plus complexe, a priori,
défendu par un système immunitaire très élaboré, franchir de multiples
barrières comme la peau et les muqueuses où s’activent des millions de
bactéries associées à des millions de cellules, emprunter les trajets nerveux,
sanguins ou lymphatiques, parfois à l’intérieur de cellules mobiles, qui lui
servent de taxi. Tout cela dans un but unique : trouver sa cible, l’organe, le
tissu, la cellule auquel son information est destinée, où il pourra la
reproduire, pour ensuite la transmettre à d’autres cellules, tissus, organes
appartenant à d’autres êtres vivants. Il faut un certain courage et une volonté
à toute épreuve. À moins que le virus ne soit guidé. Comment expliquer qu’au
cours de l’évolution, confrontées à des parasites qui pillent leur cytoplasme,
les cellules aient développé des récepteurs membranaires très sophistiqués
qui permettent l’adhésion puis la pénétration d’un certain type de virus ? Si
celui-ci n’est qu’un tueur aveugle, violeur de membranes et pilleur de
cytoplasme, comment se fait-il que le système immunitaire le véhicule
jusqu’aux cellules ? »
[…]
« Nous sommes à chaque seconde en contact avec des milliards de virus, sans
même nous en apercevoir, et beaucoup ont pourtant une attirance pour notre
espèce, nos organes, nos cellules. Nous croisons quotidiennement des
« malades », des porteurs sains de virus, prétendument mortels. Si nous
sommes en bon équilibre, sans stress ni conflit majeur et si nous n’avons pas
peur, il y a aucune raison d’activer un programme de survie se traduisant par
une « maladie ». Il n’y aura pas de contagion, ni par la salive, ni par le sperme,
ni par le sang, car ces informations virales ne nous concernent pas. Peut-être
les avons-nous déjà intégrées, à la suite, par exemple, d’une maladie infantile,
et dans ce cas notre système immunitaire les refuse. »
[…]
« Si la vie est perçue comme un combat perpétuel, alors le système
immunitaire sera perçu comme une armée destinée à nous protéger d’une
multitude d’ennemis, qui sans cesse assaillent notre territoire. À quoi est
confronté Pasteur au cours du dix-neuvième siècle ? À la peur de l’Autre, à la
guerre perdue, à l’épidémie qui tue, à la nécessité impérative de réaffirmer la
légitimité nationale et l’intégrité du soi, fortement ébranlées par la menace
étrangère. Menace permanente, séculaire, obsédante, juste au-delà de ces
frontières, qui sont comme la peau d’un pays. » »
[…]
« Le contact puis l’incorporation de quelque chose d’étranger sont beaucoup
plus compréhensibles en terme de digestion et d’assimilation d’une
information, qu’en terme d’élimination d’un agresseur. Le système
immunitaire ne se bat pas : il s’instruit. »
[…]
« Naître est un événement considérable, dont l’un des aspects majeurs est
l’irruption dans le monde des microbes. L’intestin du nouveau-né est alors
parfaitement perméable, vierge de toute flore symbiote et de structures
immunitaires. Non contrôlés, les microbes ambiants pourraient envahir
envahir le corps immature, y induire des phénomènes de tolérance
préjudiciables pour l’avenir, ou occasionner des dégâts irréversibles. La
protection va venir du lait maternel, qui prend le relais du filtre placentaire.
Le premier lait n’est pas vraiment un aliment, mais plutôt un concentré de
cellules et de molécules immunitaires fabriquées par la mère, en particulier
des anticorps spéciaux, dont la fonction est de tapisser les muqueuses. »
, dont l’un des aspects majeurs est
l’irruption dans le monde des microbes. L’intestin du nouveau-né est alors
parfaitement perméable, vierge de toute flore symbiote et de structures
immunitaires. Non contrôlés, les microbes ambiants pourraient envahir
envahir le corps immature, y induire des phénomènes de tolérance
préjudiciables pour l’avenir, ou occasionner des dégâts irréversibles. La
protection va venir du lait maternel, qui prend le relais du filtre placentaire.
Le premier lait n’est pas vraiment un aliment, mais plutôt un concentré de
cellules et de molécules immunitaires fabriquées par la mère, en particulier
des anticorps spéciaux, dont la fonction est de tapisser les muqueuses. »
[…]
« Aux alentours de 38-38,5° C la fièvre favorise le développement microbien.
Dans quel but ? Si le microbe est un ennemi, il est évident que la fièvre
facilitante doit être combattue par tous les moyens. Si, par contre, le microbe
est une information, cette facilitation prend le sens d’une amplification,
destinée à mieux voir de quoi il s’agit, avant une éventuelle intégration. Vers
39,5°C la fièvre est bactériostatique, elle stoppe la multiplication
microbienne. Le message est reçu, l’information intégrée, ou jugée sans
importance. Il est dès lors inutile de poursuivre l’amplification du message. À
40-40,5°C la fièvre est bactéricide, elle détruit les microbes excédentaires
devenus sans intérêt. Mais la fièvre a d’autres fonctions. Elle augmente le
métabolisme de base et favorise à la fois les synthèses (croissance,
anabolisme) et les éliminations toxiques. »
[…]
« La responsabilité individuelle, face à un choix éthique, implique la non-
ingérence du pouvoir et l’accès de tous à l’ensemble des informations
nécessaires à ce choix. Le piège du libéralisme est la manipulation sournoise
de l’information, qui peut être dissimulée, déformée ou amplifiée, soutenue
par des experts inféodés à l’industrie, afin de canaliser l’individu vers une
seule possibilité, un conseil alors analogue à une obligation.
Intentionnellement désinformé, le citoyen est toujours amené à se considérer
comme incompétent et inapte à toute décision. Le recours à un paternalisme
sévère mais juste consiste à imposer une stratégie, en faisant croire que
l’intérêt de chacun est confondu à celui de tous, en fait celui des dominants. Il
s’agit bien de faire de la société une prison modèle, où les gardes sont inutiles.
Chacun est à la fois juge et suspect pour son voisin, dénoncé et exclus à la
moindre manifestation de non-conformisme.[…] Afin d’asseoir son autorité,
l’État crée des habitudes, qui maintiennent ses sujets dans l’impuissance et
une dépendance totale. »
Intentionnellement désinformé, le citoyen est toujours amené à se considérer
comme incompétent et inapte à toute décision. Le recours à un paternalisme
sévère mais juste consiste à imposer une stratégie, en faisant croire que
l’intérêt de chacun est confondu à celui de tous, en fait celui des dominants. Il
s’agit bien de faire de la société une prison modèle, où les gardes sont inutiles.
Chacun est à la fois juge et suspect pour son voisin, dénoncé et exclus à la
moindre manifestation de non-conformisme.[…] Afin d’asseoir son autorité,
l’État crée des habitudes, qui maintiennent ses sujets dans l’impuissance et
une dépendance totale. »
[…]
« En 1974, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l’Unicef lancent le
PEV (Programme Élargi de Vaccination) pour promouvoir la santé pour tous
en l’an 2000. […] Un quart de siècle après le démarrage du PEV, observez la
situation sanitaire du tiers-monde et demandez-vous sincèrement si l’aspect
strictement médical est atteint ? Sur le plan financier se fut en revanche une
réussite exemplaire. […] Ces enfants sont, avant tout mal, nourris,
immunodéficients et atteints d’infections ou parasitoses chroniques, ce qui
constitue des contre-indications absolues à toute vaccination. La
survaccination accélère le processus de dénutrition et les tue, notamment en
provoquant un déficit massif en vitamine C et en zinc. Le scorbut aigu
pourrait être la cause de la mort subite du nourrisson, ici comme là-bas. La
destruction des structures sociales traditionnelles provoque le recul de
l’allaitement maternel, peu à peu remplacé par des laits maternisés
dévitalisés, généreusement distribués par l’aide humanitaire. Nos dons
financent l’achat de ces laits indigestes, aux multinationales qui les
produisent. Or l’allaitement maternel est le meilleur garant de la santé de
l’enfant confronté à des maladies infectieuses. »
[…]
« Les nouvelles vaccinations ne seront vraisemblablement pas obligatoires, il
faut donc créer puis entretenir la demande en terrorisant (hépatite B) ou en
affublant n’importe quelle maladie d’un microbe (diabète, ulcère de l’estomac,
dépression, cancer). Si, du jour au lendemain, les gens n’avaient plus peur et
comprenaient le sens profond de la maladie, ce sont des milliards d’euros qui
resteraient dans nos poches. »
affublant n’importe quelle maladie d’un microbe (diabète, ulcère de l’estomac,
dépression, cancer). Si, du jour au lendemain, les gens n’avaient plus peur et
comprenaient le sens profond de la maladie, ce sont des milliards d’euros qui
resteraient dans nos poches. »
[…]
« Le problème central est en effet celui de l’acceptabilité, car vacciner est un
viol. La violence des bons sentiments, donnant une protection en échange de
la soumission. Comment domestiquer les masses et rendre les victimes
consentantes, surtout celles qui manquent avant tout d’eau potable et de
nourriture ? Avec Pasteur, le scientifique a remplacé le prêtre et le guerrier
dans l’adoration des foules. Irrecevable sur le plan scientifique, la vaccination
doit devenir un acte de foi. Irrecevable sur le plan éthique ou politique, la
vaccination doit être imposée par la force, ce que révèle la forme militarisée et
policée des campagnes vaccinales. »
[…]
« Les pays en voie de développement ont été successivement investis par la
force, pillés puis laissés à eux-mêmes, dans une situation politique
économique et sociale épouvantable. Les savoirs traditionnels ont été
dépréciés, marginalisés et détruits par ceux qui détiennent la vraie religion et
la « vraie science ». L’allaitement maternel a été remplacé par du lait en poudre
industriel. Les cultures vivrières ont été remplacées par la monoculture
industrielle de denrée destinée aux pays riches. Les miettes laissées aux
producteurs leur ont permis d’acquérir des biens de consommation comme
l’alcool, les armes ou les médicaments. Conséquence ? Une lente déchéance
morale et physique, un désespoir chronique ponctué de maladies infectieuses
invalidantes ou mortelles car plus aucun système immunitaire n’est capable
de les apprivoiser. Peut-on survivre à une dévalorisation permanente, au
génocide, à la guerre civile ? Aucune plante ne survit sans racines. Alors le
colon revient avec son aide humanitaire, non pas pour redonner à ces peuples
une dignité et une autonomie, mais pour créer des marchés et « dealer » le
surplus de sa production. Dans un premier temps, les ONG reconnues
d’utilité publique, soutenues par la finance internationale, sont chargées
d’éduquer les pays du sud, leur donner accès à la formation technique et à la
formation technique. »
surplus de sa production. Dans un premier temps, les ONG reconnues
d’utilité publique, soutenues par la finance internationale, sont chargées
d’éduquer les pays du sud, leur donner accès à la formation technique et à la
formation technique. »
[…]
« L’hydroxyde d’aluminium a été introduit dans des milliards de doses de
vaccins contre le tétanos, la poliomyélite, la diphtérie et la coqueluche. Or,
d’une part, les adjuvants à l’aluminium augmentent le taux d’anticorps de la
classe des immunoglobulines E, pouvant entraîner des réactions allergiques
indésirables. Ainsi la progression rapide de l’asthme allergique chez l’enfant
est la résultante d’une profonde détresse émotionnelle et de la survaccination
précoce. D’autre part la toxicité de l’aluminium est aujourd’hui fortement
suspectée, puisque ce métal serait coresponsable de troubles neurologiques et
de démences type maladie d’Alzheimer, la maladie du siècle avec 100 000
nouveaux cas par an. »
[…]
« Que dire de l’hépatite B ? La vaccination des enfants contre cette affection
virale bénigne est un crime contre l’humanité, une erreur colossale, qui va
précipiter le déclin d’une idéologie, parvenue au faîte de l’absurdité et du
paradoxe. C’est probablement l’acte le plus stupide, le plus inutile, le plus
dangereux et le plus lucratif de toute l’histoire de la médecine. Pour la
première fois au monde, on a utilisé un pur produit du génie génétique pour
une vaccination de masse, contre une infection virale essentiellement
chronique. »
[…]
« L’immense majorité des infections virales sont asymptomatiques, c’est-àdire
inapparentes et bénignes. Le virus n’intervient qu’en phase de guérison,
pour extraire de nos mémoires les conflits affectifs, qui auraient tendance à
perdurer. La chronicité implique donc la pérennité d’une information virale
en relation avec un conflit latent, persistant, sans cesse réactivé. Ainsi les
virus herpès interviennent, vraisemblablement, au moment des séparations,
des sevrages difficiles, parfois impossibles à accepter. »
[…]
« Depuis la seconde moitié du dix-neuvième siècle et la révolution industrielle,
au nom du progrès et de la science, la civilisation des Lumières a parachevé
son oeuvre, la destruction systématique des cultures traditionnelles, des
peuples minoritaires, des milieux naturels. La disparition de la tribu ou de la
famille élargie a dispersé l’aréopage féminin, qui entourait et protégeait toute
grossesse. Les anciennes sages-femmes, parentes ou amies, femmes mûres
riches de leur maternité, ont dû céder la place au médecin accoucheur
détenteur du savoir objectif. Quelles peuvent être les conséquences de la
conquête et de la mise à sac de cette terre inconnue de la féminité ?
Pourquoi l’immense majorité des femelles mammifères s’isolent-elles pour
mettre bas, amener en douceur un être nouveau sur Terre ? La gestation, la
naissance et l’allaitement appartiennent à la vie sexuelle, donc à l’intimité la
plus profonde de l’être, soumis aux pulsions archaïques. Pulsions qui
proviennent d’un cerveau très ancien, celui-là même qui se trouve étouffé et
réduit au silence, par cette maladie mentale qu’est le rationalisme.[…] Dans
notre espèce et notre culture, la future mère est la proie d’un système médical
ultra-sophistiqué, où règne la froide asepsie néocorticale des mâles. À peine
fécondée, elle est placée de gré ou de force sur la case départ d’un parcours
parfaitement balisé, dans un contexte de surassistance, qui génère
dépendance et soumission. Un état de stress chronique très néfaste à
l’épanouissement du bébé. Cette médecine virile fait de sa grossesse une
maladie sexuellement transmissible, de son ventre un champ d’investigation
et une corne d’abondance, pour les multiples spécialistes de la procréation
assistée. »
savoir objectif. Quelles peuvent être les conséquences de la
conquête et de la mise à sac de cette terre inconnue de la féminité ?
Pourquoi l’immense majorité des femelles mammifères s’isolent-elles pour
mettre bas, amener en douceur un être nouveau sur Terre ? La gestation, la
naissance et l’allaitement appartiennent à la vie sexuelle, donc à l’intimité la
plus profonde de l’être, soumis aux pulsions archaïques. Pulsions qui
proviennent d’un cerveau très ancien, celui-là même qui se trouve étouffé et
réduit au silence, par cette maladie mentale qu’est le rationalisme.[…] Dans
notre espèce et notre culture, la future mère est la proie d’un système médical
ultra-sophistiqué, où règne la froide asepsie néocorticale des mâles. À peine
fécondée, elle est placée de gré ou de force sur la case départ d’un parcours
parfaitement balisé, dans un contexte de surassistance, qui génère
dépendance et soumission. Un état de stress chronique très néfaste à
l’épanouissement du bébé. Cette médecine virile fait de sa grossesse une
maladie sexuellement transmissible, de son ventre un champ d’investigation
et une corne d’abondance, pour les multiples spécialistes de la procréation
assistée. »
[…]
« Il semblerait que le risque de toxicomanie aux opiacés soit en relation avec
l’administration de narcotiques à la mère durant le travail, comme la
morphine, les barbituriques ou le protoxyde d’azote. »
[…]
« Le suicide par asphyxie est corrélé avec une anoxie (ndlr : manque
d’oxygène) néonatale. Un suicide par moyens mécaniques violents et en
relation avec une extraction très traumatique. Les enfants qui ont connu des
complications à la naissance et/ou qui ont été rejetés très tôt par leur mère,
ont trois fois plus de risque de devenir des criminels violents. »
[…]
« Le cancer serait-il une maladie de l’âme ? Nous touchons ici à un sujet tabou,
un territoire réservé de la médecine orthodoxe, au même titre que le sida.
Toute tentative d’interpréter, de prévenir ou de traiter ce type de pathologie
autrement est punie, avec une extrême sévérité. Il nous faut accepter de force,
et contre toute logique, que le sida est dû à un virus, que le cancer est une
maladie qui a pour mécanisme une prolifération cellulaire anarchique,
incontrôlée et incessante. »
rait-il une maladie de l’âme ? Nous touchons ici à un sujet tabou,
un territoire réservé de la médecine orthodoxe, au même titre que le sida.
Toute tentative d’interpréter, de prévenir ou de traiter ce type de pathologie
autrement est punie, avec une extrême sévérité. Il nous faut accepter de force,
et contre toute logique, que le sida est dû à un virus, que le cancer est une
maladie qui a pour mécanisme une prolifération cellulaire anarchique,
incontrôlée et incessante. »
[…]
« L’un de ceux qui sont sortis des sentiers battus, fut le docteur Michel Moirot,
décédé en mars 1997, dans la déréliction (ndlr : l’abandon) la plus totale,
après un enfermement pour cause psychiatrique. Cet homme a été détruit,
pour avoir effectué des recherches remarquables pendant plus de quarante
ans, qui lui ont permis d’écrire que le cancer est toujours corrélé à une
détresse émotionnelle, chez les sujets ayant vécu dans leur enfance des
événements existentiels à caractère hautement aliénant. Le Dr Moirot avait lu
Groddeck, il avait entrepris des études minutieuses et il avait compris
comment un individu angoissé et dépressif peut se rendre malade pour
survivre, dissoudre une obsédante culpabilité et même s’autodétruire, afin
d’échapper à ses fantasmes. Il avait aussi compris que le système
immunitaire, les microbes et toutes les cellules du corps sont contrôlés par cet
inconscient, qui peut générer la maladie si celle-ci est utile, mais aussi et
surtout induire un processus d’auto-guérison, lorsque le langage des
symptômes a été correctement interprété. Le cancer, comme d’ailleurs toute
maladie, exprime le refus d’une vie devenue intolérable. Moirot affirmait : « le
seul remède est de renaître. »
En 1978, sept ans avant la parution du livre de Moirot, saisi par la justice
jusqu’en 1993, le docteur Ryke Geerd Hamer perd son fils Dirk, âgé de 19 ans,
dans des conditions dramatiques. Un accident imprévisible qui génère une
souffrance d’une intensité telle, qu’il est impossible de l’atténuer de la
dépasser, de la gérer psychologiquement. À qui confier une telle douleur,
ressassée jour après jour, nuit après nuit ? Peu de temps après, lui est sa
femme sont atteints d’un cancer. Une soudaine illumination lui permet
d’établir le lien. La maladie est la solution parfaite du cerveau biologique,
commun à tous les mammifères, qui agit en dehors de notre conscience pour
notre survie immédiate. »
que,
commun à tous les mammifères, qui agit en dehors de notre conscience pour
notre survie immédiate. »
[…]
« Que nous dit Hamer ? Nous avons complètement perdu le sens et la notion
du déroulement naturel des maladies. Si un individu est impliqué trop
durement ou trop longtemps dans un conflit, alors il y a danger de mort et le
cerveau va soulager l’ensemble de l’organisme, en localisant le conflit dans un
organe. Le symptôme devient symbole, le cancer du testicule ou de l’ovaire, la
manifestation organique d’un conflit de perte. Tant que le conflit est actif le
sujet est en résistance et ne peut pas guérir. Si par contre la résistance est
vaincue par la prise de conscience, la parole dite et reçue au cours d’un
accompagnement thérapeutique compatissant, alors le cancer organique
guérit spontanément et instantanément. La prolifération des cellules n’est
donc ni anarchique, ni incontrôlée, ni incessante.
Le Dr Hamer va mettre en pratique ce qu’il a élucidé, étudier des milliers de
cas, obtenir des guérisons absolument incompréhensibles, pour la médecine
orthodoxe. Peu à peu, il découvre et expose certaines lois biologiques qui
sous-tendent l’expression de toutes les maladies organiques. Le choc
émotionnel initiateur a d’abord un impact au niveau du cerveau, de
localisation variable, selon la nature du conflit et décelable par un scanner.
Cette altération du tissu cérébral va induire la cancérisation de l’organe
correspondant. »
[…]
« Après de multiples examens et des semaines d’attente, le médecin annonce :
« Vous avez un cancer et statistiquement votre espérance de vie est de
quelques mois, au mieux quelques années. » Quel peut être alors le ressenti
du patient, au moment où le médecin lui dit : « Tu-meurs. » Sans doute une
immense détresse, car dans notre société le cancer est une maladie grave, en
plein essor et le plus souvent incurable. Une maladie irréversible qui signifie
hôpital, chimiothérapie lourde, radiothérapie, chirurgie, brûlures, perte des
cheveux, mutilations, infirmité, invalidité permanente et la mort.
Le conflit de diagnostic provoque le désespoir, la peur, une profonde
affliction, une intense dévalorisation, un souci aigu pour les proches et bien
sûr de nouveaux cancers qui seront attribués aux fameuses métastases. Ainsi,
si la maladie primaire est la manifestation d’un vécu douloureux, l’immense
majorité des aggravations est des récidives sont souvent iatrogènes, générés
par un système médical qui persiste à ignorer la subjectivité des malades. Le
thérapeute devrait toujours avoir conscience de son pouvoir et le désir de ne
pas en abuser. »
cheveux, mutilations, infirmité, invalidité permanente et la mort.
Le conflit de diagnostic provoque le désespoir, la peur, une profonde
affliction, une intense dévalorisation, un souci aigu pour les proches et bien
sûr de nouveaux cancers qui seront attribués aux fameuses métastases. Ainsi,
si la maladie primaire est la manifestation d’un vécu douloureux, l’immense
majorité des aggravations est des récidives sont souvent iatrogènes, générés
par un système médical qui persiste à ignorer la subjectivité des malades. Le
thérapeute devrait toujours avoir conscience de son pouvoir et le désir de ne
pas en abuser. »
[…]
« Nous devons prendre conscience que la santé est subversive, car elle rend les
hommes difficiles à manipuler. »
Rédigé par Julien
Publié sur :
http://www.noslibertes.org
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