Le docteur Éric Ancelet a rédigé, en 1998, un ouvrage passionnant sur les vaccins et la médecine en général, dont nous vous conseillons chaudement l’acquisition. « Pour en finir avec Pasteur » démonte, en 250 pages, plus d’un siècle de dogmes autour des vaccins et de la médecine allopathique, maintenues en place par les dirigeants religieux, scientifiques, étatiques et industriels, grâce à l’ignorance et la peur.
La maladie est dans la majorité des cas le symptôme d’un conflit, un signal d’alarme que quelque chose ne va pas dans notre vie. Faire la guerre aux virus, aux microbes, aux cancers est aussi absurde que la guerre chimique qui se déroule dans notre agriculture, où les sinistres camps de concentration de l’élevage intensif des animaux.
Extraits :
« Les rares médecins restés fidèles à la tradition, qui s’évertuent à redonner à leurs malades les moyens de retrouver la santé, butent chaque jour sur un obstacle colossal, quasi insurmontable, lourd, rigide et épais, comme tous les dogmes : le mythe pastorien de l’origine bactérienne des maladies. »
« Cette bévue fondamentale, grandiose par l’universalité de sa totale acceptation, a verrouillé pour un siècle l’éducation patiente des foules à la Santé. Désormais figée dans la certitude matérialiste, la Médecine a suivi lechemin facile des petits esprits, de ceux qui voient l’ennemi partout, le tuent à l’arme antibiotique ou le trompe par ruse vaccinale. »
« L’éducation parentale, scolaire, universitaire, comme l’information civique et médico-sociale, nous ont tôt appris à considérer tout microbe comme potentiellement pathogène et toute maladie comme potentiellement microbienne. »
« Celui, celle ou ce qui est pur, propre, prospère, sain, hygiénique, qui par ailleurs sent bon et que l’on peut toucher ou ingérer sans risques, est par définition indemne de germes, autrement dit non contaminé, parfaitement aseptique. »
« Celui, celle ou ce qui, par contre, est douteux, négligé, sale, « caca », souillé, insalubre, puant, répugnant, infect est forcément septique, grouillant de microbes responsables de toutes les pestes et prêt à sauter au nez de qui s’en approche. »
« Il faut donc réagir, tenir propre, laver, récurer, ébouillanter, empoisonner, désinfecter, pasteuriser, stériliser, antibiothérapiser et bien sûr vacciner pour prévenir, éviter, rejeter, neutraliser, détruire l’Autre, et corrélativement immuniser, défendre, isoler, garantir, assurer et sécuriser, préserver, perpétuer, conserver, immortaliser, momifier le Moi. »
« Selon Rudolf Steiner, « le matérialisme moderne est né de la peur. » Et « les êtres qui ont peur sont d’involontaires tyrans, des fanatiques de l’ordre, obnubilés par l’idée de devoir éduquer, discipliner les hommes et les choses qui les entourent, de devoir à chaque instant en garder le contrôle et la vue d’ensemble. »
« C’est la peur qui, bien plus que le microbe, est redoutablement contagieuse et pathogène. Si la médecine universitaire crée et entretien l’anxiété en agitant en permanence l’épouvantail terrifiant de la maladie, il est certainement aberrant et stérile de se contenter d’agiter en face celui des vaccins, dans un sordide rapport de force à qui terrorisera le plus. »
« Sauf si l’information sur les effets délétères des vaccinations s’accompagne d’une éducation susceptible de générer un véritable changement de conscience, une évolution intérieure positive qui transcende la peur, toutes les peurs. »
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