La maman du petit Owen s’exprime :
Des décès provoqués par les vaccins sont signalés quotidiennement dans les médias sociaux parce que des parents courageux osent monter au créneau pour partager leur douleur, leur culpabilité, leur chagrin.
Ce qui est surprenant et inacceptable, c’est que bon nombre de ces dommages et décès liés à des vaccins concernent des nourrissons en bonne santé.
Dans le cas qui nous occupe, c’est un petit garçon de deux mois, Owen Matthew Stokes (18 août 2017- 25 octobre 2017) qui a perdu sa précieuse vie 48 heures après avoir reçu ses vaccins de routine..
La maman d’Owen, Jeanee Joubert partage son expérience douloureuse et son histoire déchirante : « Je voulais partager mon histoire parce que, à aucun prix, je ne voulais que personne d’autre n’ait, chaque jour, à ressentir la douleur qui a broyé mon cœur.
Owen est né à terme ; il pesait 8,8 livres. Il était en parfaite santé à tous les points de vue.
Il n’a pas reçu le vaccin contre l’hépatite B le jour de sa naissance (comme il est de coutume) !
Bien que j’étais pro-vaccins, je ne voyais pas la nécessité d’administrer ce vaccin à notre petit garçon.
Il a néanmoins reçu une injection de vitamine K à la naissance.
A ce moment-là je n’avais aucune information sur l’administration de cette vitamine.
Nous avons tout fait pour Owen : il a été allaité au sein, ou au lait maternel au biberon pendant que j’étais au travail.
Il dormait seul dans son berceau juste à côté de notre lit.
Il ne dormait jamais avec des couvertures et était toujours couché sur le dos.
Nous avons fait des recherches sur tous les produits que nous utilisions sur lui..
Chaque jour, quand mes filles rentraient de l’école, je leur faisais prendre un bain avant qu’elles puissent s’occuper de leur petit frère.
Owen n’a jamais connu de problèmes respiratoires; il n’a jamais été malade, n’a jamais eu le moindre problème de santé avant qu’il ne reçoive ces vaccins.
Owen a reçu plusieurs vaccins 48 heures avant qu’il ne décède.
On lui a administré une combinaison de huit vaccins différents.
C’est ce qui se fait généralement quand les bébés ont deux mois.
Le premier jour après ses vaccins il était très fatigué et léthargique.
On ne le reconnaissait plus.
Le second jour, jour de sa mort, il a été confié à sa grand-mère pendant que j’étais au travail.
Il ne voulait pas prendre son biberon et était inconsolable.
Bien que très fatigué, il lui était impossible de dormir tellement il souffrait.
Sa grand-mère pensait qu’il avait des problèmes de gaz dans les intestins.
Elle a finalement réussi à lui faire faire une sieste après 14h., mais Owen ne s’est jamais réveillé…
La grand-mère est allée le voir 30 minutes plus tard et a remarqué que son corps était devenu bleu, bien qu’au toucher, il avait gardé une certaine chaleur.
Elle m’a de suite appelée alors que j’étais sur le chemin du travail.
Le père d’Owen qui était aussi dans la voiture avec moi, a de suite appelé le 911.
Travaillant dans les services médicaux, j’ai eu le réflexe de penser aux services de réanimation cardio-pulmonaire.
Nous étions à dix minutes de la maison.
Le temps d’arriver, Owen était déjà dans l’ambulance mais ce ne fut d’aucune utilité.
Mon petit garçon était mort et je n’avais pas été là.
La dernière fois que j’avais pu tenir Owen dans mes bras, il paraissait sans vie, bien qu’il souffrait parce qu’il ne parvenait pas à trouver le sommeil.
On nous a raconté qu’il était mort du Syndrome de la mort subite du nourrisson (SMSN).
Au cours de la journée, il ne voulait pas manger ; je ne savais pas ce qui se passait.
Sa grand-mère pensait qu’il avait mal au ventre et souffrait de problèmes de gaz qu’il ne pouvait évacuer.
Nous avons fait tout ce qu’il y avait de mieux pour lui, à l’exception des vaccins.
Ça a été si dur pour nous de nous rendre compte que nous avions pu faire énormément pour les autres enfants dans nos professions respectives, et que nous n’ayons rien pu faire pour sauver Owen après qu’il ait été vacciné.
Chaque jour est devenu une lutte pour nous.
Nous sommes déchirés par ce sentiment d’impuissance qui est la pire chose que l’on puisse imaginer.
Tout ceci n’est pas mon opinion sur les vaccins ; c’est juste notre histoire.
Je voudrais vous prier de faire vos propres recherches avant de faire vos choix pour ce qui concerne la santé de vos enfants.
Essayez de réaliser que c’est vous et personne d’autre qui les protégez dans ce monde. J’aurais tant aimé que les choses se passent autrement !
Je ne vaccinerai plus mes autres enfants.
Mon espoir est que ce qui nous est arrivé puisse faire réfléchir d’autres parents pour prendre de meilleures décisions que celle que j’ai prise.
Si seulement notre histoire pouvait aider une seule personne, pour que son enfant n’ait pas à souffrir et que les parents n’aient pas à vivre la douleur que nous n’arrêterons jamais de ressentir. […] »
Sources:
stopmandatoryvaccination.com
initiativecitoyenne.be