Avant de s’aventurer sur le terrain du cancer, il convient d’évoquer quelques statistiques officielles du National Cancer Institute pour faire le point sur la nouvelle peste des temps modernes. Dans cet article, un médecin américain témoigne du désastre des traitements conventionnels…
En 2016, les formes de cancers les plus répandus en Occident sont ceux du sein, du poumon ainsi que le cancer du côlon, du rectum et de la prostate. Dans une moindre proportion, les gens sont aussi confrontés à ceux de la vessie, de la peau, au lymphome non hodgkinien, de la thyroïde, des reins, au cancer de l’endomètre, à la leucémie et au cancer du pancréas.
Quelques statistiques alarmantes :
En 2006, il y a eu 1 685 210 diagnostiqués avec un cancer aux États-Unis et une mortalité de 595 690 d’entre eux.
Chaque année, 454,8 personnes meurent sur 100 000, tous sexes confondus, selon les statistiques de l’OMS (Organisation Mondiale de la santé), entre 2008 et 2012.
Le nombre de personnes vivant toujours avec le cancer est de 14,5 millions depuis 2014, avec une estimation approximative de 19 millions d’ici 2024.
Le taux des hommes atteints de cancer est plus élevé que celui des femmes, soit de 207,9 pour 100 000 hommes et de 145,4 pour 100 000 femmes. Il est encore plus élevé chez les hommes afro-américains (261,5 pour 100 000) et plus faible chez les femmes des régions asiatiques (91,2 pour 100 000), selon les statistiques de 2008 à 2012 du centre international de recherche sur le cancer (OMS).
En 2014, environ 15 780 enfants et jeunes adolescents dont l’âge est compris entre 0 et 19 ans ont été diagnostiqués avec un cancer et, parmi eux, 1960 sont morts.
L’état américain a dépensé l’équivalent de 125 milliards de dollars en soins de cancérologie en 2010, sachant que ce chiffre pourrait atteindre 156 milliards d’ici 2020 !
Aujourd’hui, on parle de statistiques beaucoup plus alarmantes, soit de plus ou moins 1 homme sur 2 et 1 femme sur 3 dans le monde qui ont déjà eu un cancer dans leur vie. Pire encore, il n’existe toujours pas de méthode certaine ou de guérison radicale, concernant la médecine conventionnelle bien entendu, pour soigner le cancer, outre le fait que le plus célèbre traitement médical est une pratique très douteuse.
Voici ce qu’un célèbre professeur de médecine déclare sur la chimiothérapie : (Choquant et violent)
Hardin B. Jones, un ancien professeur de physique et de physiologie médicale et exerçant le métier de médecin à Berkley, a déclaré avec insistance que la chimiothérapie ne fonctionne pas comme traitement anticancéreux et que c’est un canular bien édulcoré par l’industrie du cancer.
Il a aussi déclaré qu’il n’y a qu’une seule raison pour laquelle les médecins jurent par la chimio : L’argent en masse dont ils profitent. (Le coût moyen des séances de chimio pour un cas de cancer se situe entre 300 000 à 1 000 000 $).
Sur la base d’une centaine de recherches qu’il a effectué pendant les 25 dernières années, le Dr Jones a conclu que la chimiothérapie fait plus de dommages que ce qu’elle apporte comme bienfaits aux victimes du cancer. Il a aussi fait remarquer que les personnes ayant refusé la chimio vivaient 12 ans de plus par rapport à ceux qui l’ont choisis comme traitement.
Après avoir été traité par chimiothérapie, la personne meurt presque 3 ans après son premier diagnostic ou plus tôt d’ailleurs. En outre, il ajoute que les patientes atteintes du cancer du sein, ayant refusé ce traitement, vivent 4 fois plus longtemps que celles qui ont subi des rayons.
Mais les enjeux financiers sont titanesques et les mafias industrielles du cancer ne sont pas prêtes à abandonner un commerce aussi juteux que celui de la chimio.
Vidéo (En anglais) :
Bien que le Pr. Jones soit un professionnel de santé radical et extrémiste, il ne faut pas oublier que la chimio a sauvé plusieurs victimes du cancer, néanmoins, il est temps de faire vous-même vos recherches sur d’autres méthodes alternatives (naturelles ou autres) au traitement du cancer.
Sources:
www.astucesnaturelles.net
www.healthnutnews.com
www.cancertutor.com
thetruthaboutcancer.com