Grégory Kerdiles : Les parasites et la 5G… Un mélange détonnant !

Dans une interview dense et sans détour accordée à Reporter Citoyen, Grégory Kerdiles, spécialiste des ondes électromagnétiques, expose une théorie qu’il considère aujourd’hui comme centrale : les parasites seraient à l’origine de nombreuses pathologies attribuées à tort aux virus. Selon lui, le discours médical dominant cacherait une réalité bien plus dérangeante : une interaction entre parasites, bactéries intracellulaires et ondes électromagnétiques, notamment les basses fréquences, dont la 5G serait un des vecteurs majeurs.

Un doute initial sur les virus… et une nouvelle piste

Grégory Kerdiles explique avoir commencé à douter de la version officielle sur les virus en se basant sur l’absence de preuves visibles dans le vivant. Il affirme : « J’avais mis 10 000 euros sur la table pour qu’on me montre un virus vivant dans le sang. J’attends toujours. » Selon lui, les virus tels qu’ils sont présentés ne respecteraient pas le protocole scientifique de Koch, et les représentations montrées au public seraient issues de « clonages informatiques ». Partant de ce doute, il s’interroge : s’il n’y a pas de virus, pourquoi parle-t-on de charge virale ? Et que voient réellement les scientifiques dans les cellules ?

C’est dans cette quête de compréhension qu’il tombe sur le travail du docteur Humbert, spécialiste des parasites, très actif sur TikTok. Ce dernier décrit une multitude de pathologies chroniques qu’il attribue à la présence massive de parasites intestinaux invisibles dans les analyses de selles classiques. « Ce qu’il raconte, c’est exactement ce que je pressentais », explique Kerdiles. Le déclic est immédiat. Il commence à recouper, observer, tester, et les résultats confirment pour lui une hypothèse : les parasites sont la clé.

Des parasites invisibles, mais omniprésents

Grégory Kerdiles évoque les parasites comme des éléments profondément enracinés dans le corps humain, souvent ignorés du système immunitaire et non détectables par les analyses de routine. Il cite les ascaris, les tricocéphales, ou encore des vers pouvant atteindre jusqu’à 30 centimètres, capables de provoquer des pancréatites, des troubles digestifs graves ou encore des déséquilibres hormonaux. Le docteur Humbert, dans un extrait vidéo diffusé pendant l’interview, affirme d’ailleurs : « Ces gens-là sont couverts de parasites dans l’intestin. Certains ont jusqu’à 5000 vers. »

L’analyse d’urines normales malgré des symptômes de cystites, ou encore des pseudo-mycose vaginales récurrentes, seraient, selon lui, souvent liées à des parasites situés plus haut dans le tube digestif. Il dénonce également l’inefficacité des traitements classiques : « On donne des antibiotiques alors qu’il n’y a ni bactéries ni globules blancs. »

Ondes électromagnétiques, charge virale et parasites intracellulaires

Kerdiles avance que ces parasites ne seraient pas seuls. Ils abriteraient des bactéries intracellulaires pathogènes, indétectables par le système immunitaire. Ce cocktail serait à l’origine de ce que la médecine appelle la « charge virale ». Pour lui, il ne s’agit pas d’un virus, mais d’un dérèglement causé par l’activité des parasites, réveillés ou stimulés par les basses fréquences, notamment celles des technologies modernes comme la 5G, les compteurs Linky, ou les systèmes HAARP. « Le docteur Clark avait déjà prouvé que certaines basses fréquences pouvaient tuer des parasites. Imaginez ce qui se passe quand on envoie des fréquences qui les perturbent sans les tuer. Ils libèrent leurs toxines, leurs bactéries. C’est ça, la fameuse charge virale. »

Il soutient que ces perturbations peuvent provoquer des maladies inflammatoires, des troubles neuropsychiatriques (schizophrénie, bipolarité), des cancers, voire des décès soudains liés à des caillots. Il évoque également la piste de l’oxyde de graphène, matériau hautement réceptif aux fréquences, qui serait injecté dans le corps et transformerait les cellules en antennes, facilitant ainsi l’impact des ondes sur les parasites intracellulaires.

Des témoignages et des résultats visibles

Grégory Kerdiles ne se contente pas d’élaborer des théories. Il partage de nombreux témoignages, ainsi que ses propres expérimentations. Lui-même souffrait depuis longtemps de lésions cutanées douloureuses localisées sur les fessiers et les cuisses, ressemblant à de l’eczéma avec suintements. Après un protocole de déparasitage, suivi d’un jeûne et de vitamine C à haute dose, il affirme : « Plus rien. Disparu. » Il décrit également les effets impressionnants du nettoyage intestinal, en des termes imagés : « C’est de la lave, comme dans Les Visiteurs. »

Il raconte aussi l’histoire d’une jeune fille, ex-compagne de son fils, atteinte de cystites chroniques et d’un problème rénal. Il propose gratuitement un protocole basé sur :

  • 5 grammes de vitamine C toutes les heures,

  • de l’argent colloïdal,

  • et des procédés électromagnétiques Energy Up.

Les résultats sont immédiats : « À 16h le jour même, elle n’avait plus rien. » Cependant, après l’arrêt du protocole, elle rechute et finit aux urgences, ce qui, pour Kerdiles, confirme la nature chronique du parasitage et l’importance d’un accompagnement régulier. Il précise avoir agi avec l’accord des parents, de manière gratuite et en tant que citoyen.

Il cite d’autres cas similaires, comme cet homme atteint de la maladie de Lyme qui, après l’utilisation des dispositifs énergétiques, aurait pu reprendre le travail. Il insiste également sur les bienfaits d’une hygiène régulière incluant des purges au chlorure de magnésium, l’eau de mer, les huiles essentielles, et l’argent colloïdal, en expliquant que « les buzucs [les vers parasites] détestent tout ce qui nettoie l’eau du corps ».

Une médecine verrouillée et sous contrôle ?

Grégory Kerdiles va plus loin dans sa critique. Il accuse la médecine actuelle d’être sous contrôle militaire. « Quand une médecine interdit les traitements naturels, diabolise l’ivermectine ou l’argent colloïdal, et persécute les médecins qui osent dévier de la doxa, alors ce n’est plus une médecine libre. » Il évoque l’exclusion de professionnels comme le docteur Clark, ou la mise à l’écart de recherches sur les parasites.

Il rappelle également que certains traitements efficaces ont été interdits dès le début de la crise du Covid-19 : l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, ou encore la N-acétylcystéine, tous connus pour leurs effets antiparasitaires ou détoxifiants. Il cite à l’appui des publications officielles affirmant que des maladies comme Ébola, la variole du singe ou même le sida pourraient être liés à des parasites, et non à des virus, ce que confirmeraient certaines analyses de l’Assurance Maladie.

Une médecine militaire en temps de guerre ?

Selon lui, la situation actuelle s’inscrit dans un contexte militaire. Il rappelle que le Président de la République a déclaré six fois que « nous sommes en guerre ». Pour lui, cela implique que certaines décisions de santé publique sont soumises à des logiques stratégiques, de contrôle, voire de neutralisation. Il cite notamment les travaux du professeur Béchamp sur les microzymas, ces entités vivantes responsables de l’immunité et de la régénération du corps, aujourd’hui largement ignorées. « Si ces parasites sont tolérés par le système immunitaire, c’est qu’ils ont été modifiés, ou qu’on a trafiqué leur reconnaissance cellulaire. »

Il conclut en appelant les professionnels de santé, biologistes, biochimistes, médecins et chercheurs indépendants à se pencher sérieusement sur la question : « Moi je pose des questions. J’attends des réponses. Et je mets de l’argent sur la table. »

Source : Reporter Citoyen Belge