House of Numbers, les choquantes révélations sur le SIDA – Documentaire complet

Après une longue enquête sur le sujet du SIDA, Brent Leung présenta son nouveau film documentaire, House of Numbers, il n’imaginait pas les plaintes et attaques diffamatoires qui seraient déclenchées contre lui. Les promoteurs de la définition classique du SIDA se sont déchaînés contre Leung, le qualifiant de « négationniste du SIDA, » une expression dont la quasi homonymie avec « négationniste de l’Holocauste » est flagrante. La définition et l’attribution du SIDA ont maintes fois changés, afin de mieux contrôler le nombre de malades par exemple. En Afrique, il suffisait de perdre du poids et d’avoir de la fièvre pour être déclaré atteint du SIDA, et ceci sans examens sanguins, on comprends mieux l’explosion du « nombre de contaminés » dans ces pays…

Citations de House of Numbers

Diagnostic

En 1985 à Bangui en Centrafrique, vu le prix des tests, des scientifiques établissent une liste de symptômes pour déclarer qu’une personne a le sida, comme une perte de poids importante ou une fièvre persistante : c’est la définition de Bangui (House of Numbers, 16mn)

« C’est un peu la même chose que si on savait de quoi les saucisses étaient faites, la plupart des gens hésiteraient à en manger, parce qu’ils n’aimeraient pas ce qu’il y a dedans. Et si vous saviez comment les chiffres du VIH/SIDA sont cuisinés, ou de quoi ils sont faits, vous les utiliseriez avec beaucoup de précautions. » (James Chin, directeur de la Surveillance globale du VIH à l’OMS de 1987 à 1992, House of Numbers, 26mn30s)

Sur la notice, il est écrit au chapitre des « Restrictions de la procédure », que « Les facteurs de risque devraient être utilisés en conjonction avec le test », « Comme une première pénétration anale, l’utilisation de drogues, une transfusion sanguine » (36mn30)

Peter Biot disait que l’ONUSIDA est une agence de promotion du sida, et tout pays pauvre a intérêt à avoir les statistiques les plus élevées pour récolter le plus de monnaie. Peter Biot dit que le budget en dix ans est passé de 250 millions de dollars à sa création à 10 milliards de dollars. House of Numbers, 40mn20s

Contamination

Après une étude de dix ans sur la transmission de « VIH » entre des partenaires sexuels (« heterosexual Transmission of Human Immunodeficiency Virus (HIV) in Northern California : Results from a ten-year Study », avec Stephen C. Shiboski, Sarah O. Glass et  Eric Vitinghot, dans American Journal of Epidemiology) , Nancy S. Padian conclut : « Je pense que le VIH est plus difficile à transmettre que probablement la plupart des maladies sexuellement transmissibles. Je veux dire, je pense que c’est assez largement connu. » (House of Numbers, 43mn30s)

James Curran confirme : « Le VIH est remarquablement difficile à transmettre. » (House of Numbers, 44mn)

« La menace de pandémie mondiale de Sida parmi les hétérosexuels est terminée, admet le rapport », samedi 8 juin 2008 (44mn50s)

Peter Duesberg « Si Fauci disait : « Il y a un milliard de dollars pour les théories alternatives du SIDA », vous ne pourriez pas croire ce qui arriverait. Du jour au lendemain, beaucoup de chercheurs experts en VIH se mettraient à trouver des co-facteurs. La première année ils les appelleraient « co-facteurs au VIH ». Et l’année d’après on enlèverait le « co » puis l’année d’après on enlèverait « VIH ». » (House of Numbers, 50mn20s)

Explication de la théorie viraliste

Robin Weiss : « Les cellules vivantes sont compliquées, et comment elles fonctionnent dans le corps est encore plus compliqué. Alors il y a encore débat sur comment exactement le VIH entraîne le SIDA. » (54mn50s)

David Baltimore : « Le VIH doit s’introduire à l’intérieur de la circulation dans le corps. Et il fait cela par des moyens qui ne sont pas encore complètement compris. » (55mn)

Robert Gallo : « Je ne comprends pas le processus de fusion. Je ne crois pas que quiconque comprenne cela complètement. » (55mn40s)

Daniel Kuritzkes (Harvard Medical School) : « J’ai une compréhension relativement pauvre de comment les protéines virales interagissent avec les protéines sur la cellule. » (55mn50s)

Lorsqu’il lui est demandé : « Comment se fait-il que nos anticorps ne soient pas capables de tenir le VIH en échec ? », Anthony Fauci, directeur de l’Institut National de l’Allergie et des Maladies infectieuses répond : « C’est une excellente question, c’est l’une des grandes pierres d’achoppement. » (56mn)

Françoise Barré-Sinoussi : « Nous sommes presque convaincus qu’il y a d’autres facteurs qui sont impliqués dans la perte des cellules CD4, et nous ne connaissons pas encore tout le mécanisme. » (56mn30s)

Le 26 septembre 2007, Science Daily titre « Sudden Loss of T Cells is not Trigger for New Sudy Suggests »: « trois importantes équipes de chercheurs ont publié dans le Journal of Immunology mettant en doute la théorie selon laquelle la perte soudaine de cellules T déclencherait la maladie et le SIDA. » (58mn)

John P. Moore, Professeur de Microbiologie et d’Immunologie au Weill Cornell Medical College : « Les détails sur la pathogenèse du VIH, comment le VIH tue des gens sont toujours en élaboration. » (58mn)

Pephsile Maseko, coordinatrice nationale de l’Organisation de la Santé Traditionnelle : « Quand vous considérez les symptômes dont ils parlent, pour les gens qui sont séropositifs, vous trouvez que certains d’entre eux, sont plus liés à la malnutrition. » (59mn00s)

« Leur nutrition n’est pas très équilibrée, ils sont en stress oxydatif, même s’ils ne sont pas infectés par le VIH. Donc leur système immunitaire ne fonctionne déjà pas bien. (59mn)

Poppers

Donald Abrams, chef d’Hématologie-Oncologie au San Francisco General Hospital « Je me souviens du premier patient que j’ai vu quand mon interne m’a amené un jeune homosexuel atteint de pneumocystose. J’avais quelques connaissances sur l’utilisation de poppers et les inhalations de nitrite d’amyle. Et j’ai commencé en demandant au patient s’il en utilisait, et il s’avéra qu’il était un gros consommateur de nitrites d’amyle et à la surprise de mes étudiants, j’ai dit : « Je pense que cet homme a probablement détruit son système immunitaire pulmonaire en inhalant ces produits toxiques ». » (1h05mn50s)

Hank Wilson, fondateur du Comittee to Monitor Poppers : « Nous avons vu le déclin du SK [sarcome de Kaposi] parallèlement au déclin de l’utilisation de poppers. » (1h06mn20s)

Mickael Gottlieb, dans l’inflation du toujours plus de virus, ajoute : « Nous savons maintenant que le sarcome de Kaposi est causé par un second virus : le virus de l’herpès humain de surmenage 8 (VHH8). » (1h06mn30s) Peter Duesberg réplique : « Un nouveau virus arrive à la rescousse, toujours quand on en a besoin, quand vous en avez besoin, quand vous n’avancez pus, vous trouvez un autre virus. » (1h06mn40s)

Isolation du VIH

Au mieux, Gelderblom, spécialiste du microscope électronique, dit à propos de photos qu’il s’agit « probablement » de VIH (1h07mn48s).

« Oh, le Docteur Gallo l’a fait, je veux dire, il l’a finalement isolé, alors… Comment devrais-je faire tout ça ? C’est un manuel tout entier que vous me demandez. Je ne veux pas être votre livre de cours, vous savez. J’ai d’autres choses à faire. »  (1h08mn30s)

« je ne suis pas sûr de ce qu’il y a derrière votre question sur l’isolation.

Définition

En 1987, le CDC fait un changement dans la définition du sida, selon lequel on peut en être diagnostiqué du sida sans même avoir à passer un test du VIH, ou même avec un test négatif, par exemple si on est un homosexuel atteint du sarcome de Kaposi (1h09mn00s)

Dans la publication de l’OMS, J. Chin écrit : « Il doit être souligné que les définitions du SIDA ne sont pas destinées à être des indicateurs fiables d’une infection au VIH. » (1h09mn50s)

Traitement, AZT

Claus Koehnlein (MD, Kiel) : « Le traitement provoque des conditions très similaires à ce qu’on s’attend à trouver chez des patients atteints du SIDA ; c’est pourquoi personne n’a remarqué que quelque chose clochait avec le traitement. […] C’est la raison pour laquelle tout le monde croit que le VIH est un virus mortel, parce que les patients séropositifs, à ce moment-là, prenaient un traitement mortel. » (1h13mn10s et 1h14mn26s)

Peter Duesberg : « C’est le SIDA sur ordonnance, vous devenez immuno-déficient et vous mourez à cause des médicaments. C’est le SIDA sur ordonnance. » (1h15mn15s)

Donald Abrams : « Quand l’AZT est devenu largement disponible en 1985 ou 1986, j’ai mis en garde mes patients en leur disant de ne pas prendre le train en marche pour commencer un traitement . Je ne voulais pas voir ma communauté se faire empoisonner par une thérapie inefficace. » (1h1mn30s)

Donald Kuritzkes : « Je pense rétrospectivement que la dose d’AZT avec laquelle nous avons commencé était une dose dangereuse et mal tolérée. » (1h15mn40s)

Claus Koehnlein : « Personne ne veut se rendre compte de l’effet réel de ce surtraitement. Cela signifie que nous avons tué une génération entière de patients atteints du SIDA. » (1h15mn50s)

Luc Montagnier : « Nous pouvons être exposés au VIH de nombreuses fois sans être infectés chroniquement. Notre système immunitaire s’en débarrassera en quelques semaines, avec un bon système immunitaire. » (1h02mn00s)

Orthodoxie, hétérodoxie

« Il est très facile d’amener les gens à penser juste si vous leur présentez les bons éléments la première fois. Mais une fois que ces éléments ont été présentés, effacez-les pour mettre autre chose à la place, alors il est très difficile d’amener les gens à penser différemment. » (1h25mn40s)

Arthur Schopenhauer : Toute vérité passe par trois phases. Premièrement, elle est ridiculisée. Deuxièmement, elle est violemment combattue. Troisièmement, elle est acceptée comme une évidence. » (1h26mn50s)

Kimberly Bergalis

Sources:
www.houseofnumbers.com
lucadeparis.free.fr
www.agoravox.tv