6 000 à 15 000 euros sont exigés pour inscrire une variété de céréales au Catalogue, sésame officiel imaginé par les industriels pour confisquer le vivant. Un coût inaccessible pour les semences de la ferme qui ont pourtant plus d’un atout dans leur graine. Semences industrielles versus semences paysannes : quels sont les enjeux de la bataille ? La Confédération paysanne nous livre ses explications illustrées. (Pour les voir de plus près, n’hésitez pas à cliquer dessus)
Source : La Ruche Qui Dit Oui ( Facebook )
Je ne soutiens pas toujours les paysans (pas tous bien sûr) qui nous polluent avec l’utilisation des phosphates dans l’agriculture; mais là (et pour d’autres choses comme les prix de ventes aux revendeurs par exemple) je suis avec eux et comprends leur colère. D’autant plus que c’est de notre alimentation dont nous parlons. J’ai bien peur, mais je me trompe peut-être que cette sélection (législative) des graines par les industriels n’ai déjà contribué par le passé, à un blé transformé génétiquement, modifiant le gluten du blé et d’autres céréales. Je suis inquiète de voir qu’on nous fait avaler des couleuvres sous prétexte que c’est pour notre bien et que c’est pour améliorer la productivité. De tout cœur avec les paysans. Cymone.
Bien dit, les semences paysannes sont aux paysans ce que le stéthoscope est au médecin.
Les industriels ne pensent qu’au profit et se foutent totalement de l’avenir des paysans et de la santé de la population.