Non hélas, ça ne se passe pas en France, ni aux U.S.A., cette avancée révolutionnaire pour la médecine et la formation des futurs médecins se passe en Lituanie sous la houlette de professionnels de la Santé venus des USA, ayant une longue expérience et riches de succès remarquables, envers et contre toutes les oppositions « officielles » auxquelles ils ont dû faire face au cours de leurs longues carrières.
Grâce en soit rendue à l’Institut Hippocrate de Floride qui, depuis 60 ans, œuvre sans faiblir à faire avancer la connaissance en matière de santé, comment la maintenir ou la retrouver, quelles que soient les pathologies concernées par ce combat. Et grâce en soit rendue également à sa fondatrice Ann Wigmore qui, de là-haut, doit être satisfaite de ce qui a été fait de son travail de pionnière.
C’est d’ailleurs suite à la gratitude et à la reconnaissance de ses successeurs qui, ayant souhaité lui ériger un mémorial dans son pays d’origine, que ceux-ci ont pu entrer en contact avec les autorités médicales de ce pays pour mettre sur pied un projet quelque peu pionnier encore à notre époque.
Je profite donc du Sommet pour le cancer, en cours en ce moment, organisé par « Integrated Health international » sur Internet et durant lequel Brian Clement, directeur de l’Institut Hippocrate –entre plusieurs autres professionnels de la santé (docteurs en médecine ou non) et des rescapés du cancer– a évoqué cet évènement remarquable.
Je vous traduis ci-après, en gros, ce qu’il a dit à ce sujet :
Il y a 3 ans nous avons souhaité élever un mémorial à la mémoire de notre fondatrice, Ann Wigmore, dans son pays de naissance, la Lituanie. J’ai été agréablement surpris par ce pays que je ne connaissais pas. Un pays relativement récemment libéré de la Russie, dynamique, souhaitant activement la démocratie, la liberté, tout ce dont il avait été privé pendant longtemps.
Nous avons donc décidé de faire un tour des écoles de médecine. Et là je me suis vu encensé au sujet de l’institut, de ses travaux, on nous disait qu’Ann Wigmore était formidable, que nous étions les meilleurs au monde, que tout le monde devrait faire ce que nous faisions, etc… Le doyen étant présent, avec ma grande gueule d’irlandais je me suis exclamé qu’ils mentaient… que s’ils pensaient tout cela pourquoi alors leurs écoles de médecine n’enseignaient-elles pas ce que nous enseignons ? A quoi il m’a été répondu qu’ils pourraient essayer. Je n’y croyais pas trop.
Et puis durant une semaine nous avons travaillé au mémorial pour la prochaine cérémonie. C’est alors que nous avons reçu un appel et appris que le Ministre de la Santé souhaitait me rencontrer.
J’ai amené des collègues comme le Dr Dean, le Dr Campbell de l’Université Cornell, le Dr Esselstyn de la clinique de Cleveland (Cette année en octobre, pour la 3ème année, je serai accompagné par le Dr Esselstyn pour intervenir dans une école de médecine majeure et faire une conférence sur le cancer).
La grande nouvelle c’est que nous pouvons anticiper que dans les deux ou trois années à venir la première école de médecine intégrant à son programme le mode de vie enseigné à l’Institut Hippocrate ouvrira ses portes aux étudiants de toute l’Europe qui le souhaiteront. Ils y apprendront ce que tous les autres médecins apprennent mais leur cursus intégrera le mode de vie dont il faut tenir compte pour retrouver ou maintenir la santé (mode alimentaire végétalien cru mais pas seulement… utilisation des fréquences électro-magnétiques, laser froid, biofeedback… etc…).
Quant au reste de ses propos et si cela vous intéresse, je vous propose de lire la transcription d’un résumé d’extraits (l’entretien durait environ une heure) que j’ai traduits pour vous ici et ici (selon votre accessibilité à ce document vous choisirez entre ces deux liens celui qui vous convient le mieux) dans lequel il évoque son livre : Killer Clothes.
Colette