Dans cette interview captivante menée par Henri-Michel Thalamy, Stéphane Allix, journaliste, réalisateur et écrivain, dévoile les découvertes fascinantes contenues dans son livre « La mort n’existe pas ». Grâce à 15 ans d’enquête scientifique et ses expériences personnelles, il explore les phénomènes extraordinaires liés à la mort et à la conscience. L’entretien aborde des sujets variés allant des expériences de mort imminente (EMI) aux perceptions extrasensorielles, en passant par la vision à distance et les enseignements spirituels.
Déclenchement de l’enquête : Le décès de son frère
Stéphane Allix commence son interview en expliquant comment la tragique mort de son frère Thomas en 2001, survenue sous ses yeux lors d’un reportage en Afghanistan, a changé son existence. Cette perte brutale l’a poussé à explorer et comprendre scientifiquement les mystères entourant la mort et la conscience.
Les expériences de mort imminente (EMI) : Une remise en question des modèles scientifiques
Les EMI, ou expériences de mort imminente, intriguent particulièrement Allix. Elles ébranlent les postulats scientifiques conventionnels qui posent que la conscience émerge exclusivement de l’activité cérébrale. Des témoignages de personnes ayant été cliniquement mortes et ayant décrit des expériences lucides et détaillées durant ce temps questionnent ce modèle. Ces récits comprennent souvent des observations détaillées et vérifiables de leur environnement pendant des arrêts cardiaques prolongés.
La conscience non locale : Une théorie fascinante
La notion de conscience non locale est un aspect central abordé par Stéphane Allix. Selon cette théorie, notre conscience est capable de transcender les limites de l’espace et du temps, permettant des expériences et perceptions qui ne peuvent être expliquées par l’activité cérébrale seule. Cette théorie est étayée par des récits d’EMI et des expériences de perceptions extrasensorielles.
Explication de la vision à distance
La vision à distance, ou « remote viewing », est une capacité par laquelle des informations sont obtenues sans recours aux sens ordinaires. Allix raconte comment ce phénomène a été étudié et appliqué dans des programmes de renseignement américains, tels que le programme Stargate, qui a formé des « espions psychiques » à partir des années 1970. Cette capacité met en lumière la notion de conscience non locale.
Le lien entre perceptions extrasensorielles et intuition
L’intuition humaine est également évoquée comme un aspect sous-jacent aux perceptions extrasensorielles. Allix relate des exemples où des personnes ressentent intuitivement des événements futurs ou d’autres informations sans raisonnement apparent, suggérant une profondeur inexplorée de la conscience humaine.
Prépondérance de la vision matérialiste en science
Malgré les preuves accumulées et les recherches menées sur les phénomènes extrasensoriels, la vision matérialiste reste dominante parmi les scientifiques. Allix explique que cette prédominance est liée à l’efficacité de ce paradigme, bien que beaucoup de chercheurs de différents domaines commencent à douter du modèle matérialiste de la conscience.
Médiumnité : Une capacité avérée de communication avec les morts
Stéphane Allix partage ses recherches approfondies sur la médiumnité, où des médiums sous des conditions de laboratoire contrôlées ont pu obtenir des informations de personnes décédées de manière inexplicable autrement. Ces résultats suggèrent fortement une interaction réelle avec des entités décédées.
La spiritualité et la conscience
Les enseignements spirituels intègrent souvent la conception d’une conscience non locale. Selon Allix, science et spiritualité ne sont pas incompatibles ; au contraire, elles se complètent en enrichissant mutuellement notre compréhension du monde et de la conscience.
Être spirituel vivant une expérience matérielle
Enfin, Stéphane Allix conclut que nous sommes des êtres spirituels vivant une expérience matérielle. Il insiste sur le fait que notre essence fondamentale dépasse le simple aspect physique de notre existence, et que la mort ne concerne que notre corps, pas notre être total.
Source : Epoch Times France