Aux États-Unis, les vitamines C et D sont finalement adoptées dans le traitement conventionnel du nouveau coronavirus, le SRAS-CoV-2. Cette heureuse tournure des événements devrait permettre de sauver des milliers de vies, tout en maintenant les coûts des soins de santé à un faible niveau.
Les patients gravement malades atteints de coronavirus dans le plus grand système hospitalier de l’État de New York reçoivent 1 500 milligrammes de vitamine C par voie intraveineuse trois à quatre fois par jour, en conjonction avec d’autres traitements conventionnels.
La vitamine C, à des doses extrêmement élevées, agit comme un médicament antiviral, tuant en fait les virus.
Dans des articles récents, l’ancien chef du CDC, le Dr Tom Frieden, et le Dr John C. Umhau, spécialiste de la santé publique au NIH, soulignent l’utilité de l’exposition au soleil et/ou de la supplémentation en vitamine D pour réduire le risque d’infection par le SRAS-CoV-2.
Bien que la vitamine D ne semble pas avoir d’effet direct sur les virus, elle renforce la fonction immunitaire, permettant ainsi à l’organisme hôte de combattre le virus plus efficacement. Elle supprime également les processus inflammatoires.
Pour plus de détails, consultez l’article original du Dr. Mercola en français.
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