Voici des extraits de la 1ère partie du documentaire The Quest for The Cures (La quête des remèdes) par des professionnels de la santé : médecins, naturopathes, conférenciers, homéopathes, etc. , certains d’entre eux étant des survivants du cancer. Ils dénoncent les aberrations de la médecine :
- Les étudiants en médecine sont éduqués pour soigner avec des médicaments, ils n’ont aucune idée des soins naturels… parce que les universités reçoivent des sommes énormes de l’industrie pharmaceutique…
- « Nous avons une licence pour tuer… » (dit par un médecin !)
- Les traitements conventionnels sont comme une moquette posée sur du fumier pour le masquer, en ajoutant du parfum pour masquer l’odeur… mais le fumier est toujours là (la cause de la maladie !), et il y restera tant que vous ne l’aurez pas évacué.
- Les médicaments de chimiothérapie causent le cancer, selon des études provenant de l’industrie du cancer et le bureau de toxicologie des USA, reconnaissant ces médicaments comme carcinogènes.
- Les médicaments de chimiothérapie accélèrent la mort et ceux qui les évitent survivent plus longtemps.
- Aucun médecin, aucun scientifique ne peut prédire les conséquences de la prise de 4 ou 5 médicaments différents en même temps, parce que cela n’a jamais été étudié.
- Un malade n’est pas malade à cause du cancer, il est malade et c’est pour cela qu’il a un cancer. Donc traiter le cancer avec des médicaments n’a aucun sens : il faut traiter la cause du cancer, pas le cancer.
- Dans les années à venir, vers 2020, la médecine à elle seule, à travers les traitements divers et les médicaments, sera responsable de 50% des cancers.
- La plupart des médecins ne prendraient pas et ne donneraient pas à leur conjoint(e) ou à leurs enfants les médicaments qu’ils prescrivent à leurs patients.
Bonjour
Cet article dénonce une fois de plus que nous accordons une trop grande confiance à nos médecins. Certes certains sortent du lot, mais il est difficile de trouver un bon médecin qui prendra le temps d’étudier réellement notre pathologie. On le constate avec toutes les maladies chroniques qui prennent beaucoup d’ampleur et avec les maladies que l’on dit incurables comme les cancers. Si les malades ne s’en sortent pas malgré tout les traitements qu’ils prennent, c’est bien qu’il y a un problème quelque part.
En tant que patiente (ou ex-colopathe) je rejoins forcément SN, car c’est moi qui ai dû chercher l’origine de ma maladie et réussi (20 ans plus tard) à convaincre un médecin. Lamentable !
Alors oui, je dis merci aux médecins qui dénoncent le système et à SN.
Dans mes 2 témoignages de guérison, je dénonce moi aussi le système, et je dis souvent que des traitements qui n’en finissent plus, ne servent qu’à camoufler les symptômes, mais jamais à guérir. Après avoir édité mon 1er livre, j’ai ouverte un blog, dans lequel j’ai copié un article du magazine QUE CHOISIR N° 525 Mai 2014-05-13 tenant à peu près le même langage que SANTE NUTRITION.
Mon texte, et un extrait de l’article « MEDECINS. LA FORMATION AUX MEDICAMENTS EST BACLEE.
13 mai 2014
Bonjour
Pour en revenir à mon cheval de bataille, qui est incontestablement l’erreur médicale, je tiens à mettre sur mon blog, cet article qui prouve une fois de plus que les patients peuvent être victimes de traitements médicaux inadéquates à leur pathologie. Comme j’ai été moi-même victime de traitements ayant entraîné une colopathie due à un empoisonnement !
Cymone
QUE CHOISIR : « Dans cet article j’ai surligné principalement que le scandale du MEDIATOR n’avait pas suffi à déjouer toutes les mauvaises surprises (ou effets secondaires non définis dans les notices) que certains laboratoires pharmaceutiques nous réservent après avoir consommé leurs médicaments. Cette leçon n’aura visiblement pas vraiment porté ses fruits, puisque LA FRANCE RESTE EN RETARD SUR SES VOISINS dans la formation des étudiants aux médicaments. « D’après le rapport BEGAUD sur la surveillance et la promotion du bon usage du médicament en France, publié en septembre 2013, la France dispense à ses futurs médecins un volume de formation sur le médicament 1.5 à 4 fois inférieur à celui des Pays-Bas, de la Grande-Bretagne, de la Suède, de l’Italie, et de l’Espagne… » « Le découpage des cours à donc tendance à tirer le volume d’heures vers le bas…Les cours présentent le médicament comme un remède, une recette, les effets secondaires et les interactions passent au second plan, analyse le docteur Jean-Sébastien Borde, néphrologue à l’hôpital de Saintonge à Saintes (17), vice-président de l’association pour une formation et une information médicale indépendante (Formidep)… »
(Actuellement, « peu sensibilisés par leur formation théorique, les internes n’ont pas le réflexe de penser qu’un nouveau symptôme peut être l’effet d’un médicament et ont tendance à le traiter en prescrivant un autre médicament » a remarqué Jean-Sébastien Borde.) (DES INDUSTRIELS TRES INFLUANTS. « Ils peuvent venir à notre rencontre au moment ou on sort d’une chambre pour nous proposer de discuter » raconte Myriam B, une interne en médecine générale à Rennes)
DIFFICILE DE FAIRE CHANGER LES MENTALITES.
C’est un bel article, réaliste, mais un mauvais film. C’est une histoire sans FIN au final, car actuellement elle donne peu d’espoir aux patients ; si ce n’est ce que soutient François MONTASTRUC: « il faut créer une véritable culture du conflit d’intérêt au sein de la communauté médicale et étudiante »
20/10/2014 :
20 ans de maladie pour des erreurs médicales, (SII ou COLOPATHIE due au polymétallisme en bouche). j’ai trouvé ça bien injuste. C’est pourquoi en tant que victime du système jamais remis en cause, j’ai écrit mes témoignages de guérison non seulement pour dénoncer, sans polémiquer, ces aberrations mais aussi pour informer les Colopathes, les aider.
Et comme le dit SN il faudrait avant tout chercher la cause de la maladie, notamment pour le CANCER. Il faudrait appliquer la médecine étiologique.
Cymone.
Ci-après un extrait de mon témoignage :
« Je m’allonge en songeant aux autres malades, à ceux qui décrivent leur impuissance sur le NET, à tous ceux qui appellent à l’aide.
Puissent ces petits ruisseaux faire de grandes rivières, et encourager la recherche médicale ! Que nos pathologies convergent et deviennent une abondante source de renseignements. Enfin que les médecins s’abreuvent au confluent de nos témoignages. Que les médecins ne s’appuient pas toujours sur leurs acquis. Que leurs connaissances se renouvellent sans cesse en ne buvant pas toujours à la même source.
Ce n’est pas aux colopathes, mis aux oubliettes, de se réunir sur le NET sur les forums de malades, pour trouver des solutions. C’est aux médecins à qui nous accordons notre confiance, de nous soigner. Actuellement c’est triste à dire, mais les colopathes sont de plus en plus nombreux sur les forums médicaux. Entre malades incompris ils se donnent des conseils pour survivre car ils n’attendent plus grand chose de leurs médecins.
Le gouvernement français avait pronostiqué en 2009 une importante épidémie de grippe « A » et investi allègrement le milliard d’euros pour des soins et principalement des vaccins qui n’ont pas servi à grand chose ! *Cette grippe, à la fin février 2010, aura fait en tout et pour tout 306 décès alors que Chaque année, on recense entre 4 000 et 6 000 décès liés à la grippe saisonnière (chiffres de l’Institut de veille sanitaire (InVS)). Ce scandale a dénoncé les abus entre les experts de la santé et l’industrie pharmaceutique qui s’en sont mis plein les poches. Actuellement c’est triste à dire, mais les colopathes sont de plus en plus nombreux sur les forums médicaux. Entre malades incompris ils se donnent des conseils pour survivre car ils n’attendent plus grand chose de leurs médecins. »