C’est le risque encouru par les parents qui estiment que les vaccins sont un poison pour leurs enfants.
Les laboratoires ont bien fait leur travail en ne laissant pas le choix aux français… La seule solution pour ne pas avoir de problème est de se faire faire de faux certificats. C’est une affaire à suivre avec attention car la réponse qui sera apportée à la QPC (Question prioritaire de constitutionnalité) pourrait ouvrir une brèche et laisser plus de liberté aux parents désireux d’éloigner leurs progénitures des vaccins.
Lu sur Le Figaro : Un couple comparaît le 9 octobre pour maltraitance devant le tribunal correctionnel d’Auxerre, dans l’Yonne. Motif: ils refusent de faire vacciner leur fille de trois ans contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP), rapporte le site de France Info. Samia et Marc, qui ont deux enfants âgés de 15 mois et trois ans, se défendent d’être des illuminés. Leur choix est même très réfléchi, assurent-ils. «Il y a des études sérieuses qui sont menées aujourd’hui et qui prouvent que les vaccins peuvent rendre malades nos enfants plus que les protéger», explique Samia Larère à France Info. «Il y a des adjuvants (dans ces vaccins) comme le mercure et l’aluminium qui sont dangereux.»
Le couple milite pour la liberté de vaccination. «Si l’on va devant les tribunaux, ce n’est pas que pour nous, c’est évidemment pour faire évoluer cette loi (…) Il n’y a pas d’obligation thérapeutique en France, on est couvert par la loi Kouchner de 2002», fait valoir le père, Marc Larere. En début d’audience, leur avocat Me Emmanuel Ludot déposera une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) en ce sens. «Ils ne font pas dans l’anti-vaccin primaire, ils n’appartiennent à aucune structure, aucune secte. Les vaccins, d’accord, mais sans adjuvants», explique-t-il. «Je vais très certainement obtenir la saisie du Conseil constitutionnel pour savoir si l’on peut imposer un vaccin.»
LIRE : Etats Unis : Enorme plongeon des taux de vaccination en maternelle: les officiels sont déconcertés
Source: Contre info
Si le vaccin du papillomavirus était rendu obligatoire il faudra s’attendre à de nombreux procès car de nombreux parents refuseront de faire vacciner leurs enfants.
Gaëtan