L’autisme touchait en 2000, un enfant sur 150. Aujourd’hui, en 2014, il touche 1 enfant sur 68 !
Soit une augmentation de l’autisme de plus en plus important et très inquiétant. En France, ils comptent 600 milles autistes dont quelques milliers se voient refoulés aux portes des écoles : Vous avez dit « autiste », quelle horreur !
Ça aussi c’est du « racisme » dés lors où l’on rejette les gens différents et là, nous ne voyons pas la fumeuse Licra venir crier au scandale… C’est pathétique !
«Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson sur ses capacités à grimper à un arbre, il passera sa vie à croire qu’il est stupide.»
L’autisme a fortement augmenté ces 30 dernières années aux États-Unis. Une progression qui serait en partie liée aux développements abusifs des pesticides, incompatibles avec la vie humaine comme avec celle de nos animaux qui n’est pas sans engendrer des complications physiques et mentales.
D’après une étude de chercheurs californiens qui vient d’être révélée, une femme enceinte qui vit près d’un site agricole utilisant ces produits chimiques, court un énorme risque de voir son enfant développer la maladie et autres problèmes.
Les chercheurs de l’université Davis ont confronté des données sur les utilisations de pesticides en Californie, en comparent mille sites agricoles et les habitants qui demeurent à proximité. La loi en Californie requiert de préciser les types de pesticides pulvérisés, où, quand et dans quelles quantités. Les scientifiques ont constaté que plusieurs types de pesticides ont été couramment utilisés près des habitations où les enfants ont justement développé le syndrome de l’autisme ou ont eu des retards. Environ un tiers des participants à l’étude vivaient dans un rayon de 1,25 à 1,75 km de l’endroit où les pesticides sont utilisés.
LE DÉVELOPPEMENT DU CERVEAU DU FŒTUS EST TRÈS SENSIBLE AUX PESTICIDES
Si l’enquête n’établit pas encore de relation directe entre les pesticides et l’autisme, les chercheurs ont néanmoins découvert que les risques d’autisme augmentaient et qu’ils étaient d’autant plus élevés que le contact avec les pesticides se déroulait souvent entre le deuxième et le troisième trimestre de la grossesse.
Le développement du cerveau du fœtus pourrait donc être particulièrement sensible aux pesticides.
Cette étude valide les résultats d’une recherche précédente qui avait constaté des liens entre le fait d’avoir un enfant autiste et l’exposition, pendant la grossesse, à des produits chimiques de l’agriculture en Californie. Ils ont encore vérifié si certains sous-groupes sont plus sensibles aux expositions de pesticides que d’autres.
Mais le message est très clair : les femmes enceintes doivent faire attention en évitant tout contact avec les produits chimiques agricoles. Elles doivent éviter d’aller se promener dans les champs et dans leurs environs.
Il reste à espérer qu’un jour, les politiques prennent conscience que la vie est incompatible avec tous les produits chimiques que l’on déverse dans la nature au nom du rendement et de l’enrichissement personnel.