Cet homme et cette femme ont retrouvé la santé et leur poids optimal grâce à l’alimentation crue, le résultat est incroyable !

La science est formelle : Une alimentation cuite et transformée est néfaste pour la santé. Chaque année, de nouvelles études viennent en confirmer les méfaits et les dangers : AGE, acrylamide, furanes, graisses saturées, etc. Ce que dit la science est simple : les aliments bénéfiques, ceux qui sont nourrissants et sans risque pour la santé, ceux qui ont même une action préventive, ce sont les aliments crus, notamment les fruits et légumes. Et les résultats sont parfois surprenants. Voici deux témoignages glanés sur internet.

Sur le site www.purelyraw.com, Chris Carlton parle de son passé d’obèse et comment le passage au cru a totalement changé sa vie. Il commence son histoire par ces mots « J’étais souvent malade. » Sinusites, rhumes, bronchites, troubles de la respiration étaient son « état normal ». En surpoids dès l’enfance, issu d’une famille d’obèses du côté de son père, il ne se demandait pas « si » mais « quand » le diabète ou la maladie cardiaque allaient arriver. « J’étais sous traitement régulier d’ »Actifed » (chlorhydrate de pseudoéphédrine / triprolidine hydrochloride) et de «Tylenol» (acétaminophène) et d’autres médicaments prescrits par mon médecin à l’époque. J’avais toujours sous la main une boîte de pilules et je n’étais jamais à plus de 10 mètres de mon inhalateur de secours. À l’âge de 35 ans, j’étais en mauvaise posture. Je pesais 363 livres (164 kg) ». Et puis Chris a décidé de changer de vie. Il s’est acheté un camping-car et est parti à l’aventure. Ce faisant, disposant de peu de budget mais de beaucoup de temps libre, Chris s’est mis à préparer ses repas. Sans même s’astreindre à un régime particulier, il a constaté qu’il allait mieux ainsi. Pour la première fois de sa vie, Chris prend conscience que ni l’obésité ni les maladies ne sont une fatalité, que sa santé dépend aussi et surtout de ce qu’il mange. De passage en Californie, il découvre d’abord le végétarisme puis l’alimentation crue. Aujourd’hui il a perdu plus de la moitié de son poids d’avant, stabilisé à 74 kg et il ne tarit pas d’éloges sur son nouveau mode de vie : « Je suis en bonne santé. Vraiment en bonne santé! Je n’ai pas été malade depuis trois ans. Ma tension artérielle est normale et mon taux de cholestérol est de 2,5 mmol/L (100 mg/dL, l’unité de mesure aux USA) »

Chris avant et après

Voici un autre témoignage, celui de Cecilia sur son site www.rawglow.com. Elle aussi se souvient qu’avant, elle était souvent malade. Elle souffrait d’infections respiratoires à répétition. Voici ce qu’elle en dit : « Dès l’âge de sept ans, j’étais asthmatique et atteinte de sinusites chroniques. À l’âge de 10 ans, j’avais 4 médicaments différents pour mon asthme, 3 types d’inhalateurs et des pilules anti-histaminiques […] Je devais utiliser mes inhalateurs jusqu’à 14 fois par jour. A chaque fois je sentais mon cœur battre la chamade à cause de l’effet de stimulation qu’il produisait sur moi. J’avais appris à vivre avec ça sans jamais imaginer que je pouvais guérir. Je pensais que c’était pour toujours » A l’adolescence un autre problème de santé est venu gâcher un peu plus la vie de Cecilia, le surpoids. : « Après le lycée, j’ai arrêté de jouer au football et j’ai commencé à prendre du poids. Je n’étais pas obèse mais je ne me sentais pas à l’aise dans mon corps. Je me souviens d’un shopping en Espagne. J’avais 19 ans et je ne trouvais pas d’autres maillots de bain à ma taille que ceux pour femmes plus âgées. J’en étais confuse et honteuse. Ce problème de poids me désespérait parce que j’étais gourmande. Bien manger était un réconfort. C’était mon ultime plaisir. »

blank

Cecilia à 22 ans, Cecilia aujourd’hui

Et puis Cecilia a perdu sa mère, ce qui l’a beaucoup perturbée. A 22 ans, elle était déprimée, faisait des crises d’anxiété et de panique. En plus des problèmes d’asthme et de sinusite, elle cumulait, dérangements digestifs, cycles menstruels irréguliers, éruptions étranges, infections urinaires à répétition. Pour la soigner, les médecins n’avaient rien d’autre à lui prescrire que des antibiotiques. Cecilia a commencé à reprendre le dessus grâce à un régime qu’on lui a conseillé et qui l’a amené à supprimer les produits laitiers et limiter ceux à base de farine blanche et de sucre. Elle a tenu 6 mois et son état s’est amélioré. Mais ce n’est qu’avec l’alimentation crue que les choses ont vraiment changé : « Dès la première semaine, j’ai remarqué que j’avais plus d’énergie. Je me suis dit que si l’aliment cru que je mangeais était si plein de vie, cette force vitale devait être transmise à mon corps. […] Dès le quatrième mois, j’ai pu me passer de mes médicaments contre l’asthme. Je n’en avais plus et il n’est jamais revenu. En six mois, j’ai perdu 15 livres. Au cours du huitième mois, j’ai fait neuf jours de jeûne à l’issu desquels les boutons que j’avais sur mes bras et mes cuisses ont disparus. J’ai aussi remarqué que mes yeux marron foncé étaient devenus un peu plus clairs. Au bout d’un an, mon cycle menstruel était devenu plus régulier. Je me sentais plus en harmonie avec mon vrai moi, plus en confiance avec mon corps. Ma peau était devenue plus claire, mon teint plus lumineux et plus jeune. » Ce régime cru de Cecilia ne semble pas lui peser, contrairement à celui qu’elle avait essayé avant : « j’apprécie vraiment chaque repas cru. J’aime les saveurs vibrantes de fruits mûrs frais et des légumes justes cueillis. Quand je mange des aliments crus J’ai l’impression que chaque cellule de mon corps est nourrie, que mon corps chante, qu’il est heureux. C’est une sensation vraiment singulière, incroyable! ».

S’il est vrai que de nombreuses vertus préventives sont reconnues pour les aliments crus, ces témoignages tendent à leur donner un véritable pouvoir thérapeutique. De tels résultats, aussi spectaculaires, ne sont peut-être pas généralisables. Ils sont néanmoins cohérents avec l’état des connaissances scientifiques actuelles. Ils montrent surtout que le point de départ de ces améliorations, c’est la prise de conscience qu’il n’y a pas de fatalité, que nous sommes responsables de notre santé. Les médecins soignent la maladie mais c’est à chacun de préserver sa santé. Redécouvrir les plaisirs crus et s’y adonner est, à cette fin, le plus agréable des chemins.