Et si, en dehors des forêts traditionnelles, il restait de la place pour d’autres, où les questions de gestion se poseraient bien différemment : des espaces qui pourraient s’appeler des “forêts comestibles” ?
Et si, en dehors des forêts traditionnelles, il restait de la place pour d’autres, où les questions de gestion se poseraient bien différemment : des espaces qui pourraient s’appeler des “forêts comestibles” ?