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Glucides et paléo : l’art de trouver l’équilibre

Plusieurs lectrices et lecteurs du blog m’ont récemment contacté pour me faire part de difficultés lors de leurs débuts avec le paléo : perte de masse grasse (poids) trop rapide, manque de « jus » lors d’activités sportives, sensation d’être fébrile, ou sans énergie.

Après quelques échanges, nous sommes venus à la conclusion que leurs difficultés proviennent d’une inadéquation entre la quantité de glucides consommée et le niveau d’activité.

Dans cet article nous abordons donc la question de la bonne quantité de glucides.

Le paléo, faible en glucides ?

Quand on fait un essai avec l’alimentation paléo, on retire soudainement ou progressivement de son assiette les céréales, les légumineuses et les produits transformés.

On supprime ainsi par la même occasion les principales sources de glucides d’une alimentation « normale ».

Chez la plupart des gens, cette suppression a pour effet immédiat d’enclencher un mécanisme de perte de masse grasse (et donc de poids). Lire la suite →

Menu Santé : la cuisson basse température donne du goût

Un rôti de bœuf cuit à très basse température est particulièrement tendre et savoureux. ©Phovoir

Après avoir laissé mijoter un bœuf bourguignon pendant des heures, la dégustation est un véritable… délice ! Eh bien sachez qu’il est possible de faire cuire ainsi à peu près n’importe quel aliment. Mais il est primordial de le faire à très basse température. Soit, globalement, entre 65°C à 80°C. Ainsi, non seulement les saveurs sont décuplées, mais le risque induit par la  est annulé. Les chefs de www.ma-cuisine-ma-sante.fr ont mijoté pour vous des recettes pleines de saveurs et de vitamines.

La cuisson à basse température est une méthode qui consiste à cuire les aliments en les maintenant de façon constante et longtemps entre 65°C à 80°C. De cette façon, la viande reste très tendre, juteuse et conserve ses qualités nutritives. « La cuisson à basse température permet de garder un maximum des vitamines et des sels minéraux », précise Philippe Baratte, chef et créateur du site Cuisine basse température. « La viande reste gorgée de son jus à l’intérieur, car l’eau contenue ne s’évapore pas. » Lire la suite →

Les Français et le bio

Le marché du bio pèse aujourd’hui 4,1 milliards d’euros en France avec une croissance d’environ 5% en 2013*. Le bio continue donc son expansion mais qu’en est-il vraiment de la consommation du bio par les Français ?

Un nouveau sondage BVA/ma-Reduc.com décrypte la consommation du bio par les Français en chiffres : la fréquence d’achat, le budget, les dépenses par semaine et par foyer, qui sont les consommateurs de bio et quelles sont leurs motivations, ou encore les produits stars du bio.

les français et le bioRésultats : malgré un contexte économique difficile, 75% des Français sont prêts à dépenser plus pour manger mieux. Ainsi, on observe que le budget bio a augmenté pour 24% des Français et que 8% d’entre eux dépensent plus de 50€ par semaine. Seulement 2% pensent que c’est un effet de mode. Lire la suite →

Le régime nordique, une alternative locale au régime méditerranéen?

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Le régime méditerranéen est souvent encensé comme moyen de prévenir certaines maladies, notamment cardio-vasculaires . Au menu,huile d’olive, légumes, fruits secs et frais, poissons…

Mais quand on vit au Danemark ou en Suède, on fait comment si on veut se lancer? La Méditerranée n’est pas la porte à côté et il n’est pas forcément facile de trouver les aliments nécessaires. Lire la suite →

La consommation de poissons associée à la présence de mercure dans le sang

Les adultes américains qui consomment le plus de produits de la mer auraient des taux de mercure sanguins plus élevés.

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Faut-il consommer du poisson, sachant qu’il peut contenir du mercure ? Le débat est relancé par une étude américaine parue dans American Journal of Clinical Nutrition dans laquelle les auteurs font état d’une association entre consommation de produits de la mer et concentration de mercure dans le sang.

Les poissons et les fruits de mer font généralement partie d’un régime alimentaire sain, car ils permettent d’apporter des acides gras oméga-3, mais aussi des minéraux et des oligo-éléments. LaNutrition.fr recommande de consommer 2 à 3 parts de poissons et de fruits de mer par semaine. […]
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PRÉMATURITÉ: L’alimentation de la mère durant la grossesse compte aussi

blankUne alimentation à base de fruits et de légumes, de grains entiers et de certains types de poissons réduit de 15% le risque d’accouchement prématuré, conclut cette étude de l’Université de Göteborg (Suède) menée sur 66.000 femmes enceintes. Les conclusions, présentées dans le British Medical Journal, sensibilisent les femmes en âge de concevoir à un régime nutritionnel équilibré, mais aussi tous les professionnels de la périnatalité à encourager de saines habitudes alimentaires.  Lire la suite →

Manger Paléo : une alimentation de base

L’alimentation paléo est celle des chasseurs-cueilleurs. Par conséquent, elle est constitué de tout ce que nos ancêtres pouvaient chasser et cueillir.

Manger paléo c’est manger des animaux

Des animaux de la terre (viande rouge, volaille, œufs) et des animaux de l’eau (poissons, fruits de mer).
Tout comme nous, ces animaux doivent avoir vécu paléo. La qualité de leur viande est le reflet de leur vie, de comment ils ont mangé et bougé. De même que nous ne sommes pas adaptés à manger des céréales, les bœufs ne le sont pas non plus, et il vaut mieux privilégier ceux qui ont eu leur fourrage.

Pensez au saumon bien musclé qui remonte son torrent et à celui qui tourne en rond dans sa piscine, lequel aura la meilleure chair ? Pensez au poulet confiné en batterie, et à celui qui picore en toute liberté : lequel produira un meilleur œuf ?
La qualité est une question indispensable.  Lire la suite →