Témoignage d’un homme affirmant avoir guéri son cancer de la prostate sans traitement conventionnel

Cet article relate le témoignage d’un homme diagnostiqué avec un cancer avancé de la prostate. Après avoir constaté une augmentation préoccupante de son taux de PSA, il a entrepris des recherches personnelles et adopté des méthodes alternatives. Convaincu qu’il existait d’autres solutions que les traitements médicaux classiques, il affirme avoir réussi à éliminer son cancer en suivant une approche spécifique qu’il détaille dans son récit.

Le diagnostic et les premiers constats

L’auteur du témoignage explique qu’il a été suivi par un urologue, le même qui avait pris en charge son père, également atteint d’un cancer de la prostate. Conscient du caractère héréditaire de la maladie, il décide de réaliser des tests médicaux approfondis. Son taux de PSA est alors mesuré à 9,5 ng/mL, bien au-dessus du seuil normal (inférieur à 2,5 ng/mL).

Face à ce diagnostic alarmant et à ses antécédents familiaux, il choisit de ne pas suivre les recommandations médicales classiques, incluant la chimiothérapie. Il témoigne d’une méfiance profonde envers le système médical nord-américain, qu’il accuse de privilégier des traitements lucratifs au détriment des patients.

L’usage de pâte d’ivermectine et d’autres substances

Plutôt que d’accepter les traitements standards, il entreprend des recherches sur Internet et découvre la pâte d’ivermectine. Il insiste sur l’importance de la concentration et précise qu’elle doit être à 1,87 %, affirmant que seule cette version est efficace, tandis que les formes en pilules seraient trop diluées. Il consomme une dose équivalente à la taille d’une gomme à crayon jusqu’à quatre fois par jour.

En complément, il prend du bleu de méthylène, une teinture connue pour ses effets sur la cognition. Il affirme que cette substance aide à la clarté mentale, mais entraîne comme effet secondaire une coloration bleue de l’urine.

Il évoque également une troisième chose qu’il a faite, sans la nommer explicitement, et annonce qu’il en parlera plus en détail dans une prochaine vidéo. Toutefois, à travers ses témoignages, il met souvent l’accent sur le jeûne prolongé et intermittent, ce qui laisse penser qu’il pourrait faire référence à cet aspect.

L’importance du régime alimentaire

En parallèle de ce traitement, il adopte un régime alimentaire strict basé sur :

  • Le jeûne intermittent : il ne mange que deux repas par jour, espacés de 18 à 20 heures.
  • Un jeûne prolongé : il réalise des périodes de 3 à 5 jours où il ne consomme que de l’eau.
  • Une alimentation cétogène : il se nourrit uniquement de viande, œufs, bacon et eau, excluant totalement les glucides et les produits transformés.

Selon son témoignage, ces mesures auraient contribué à une chute rapide de son taux de PSA. En trois semaines, celui-ci serait descendu de 9,5 à 6,2 ng/mL. Après deux mois, il aurait chuté à 3,8 ng/mL.

Les résultats médicaux et la réaction des médecins

Au terme de son protocole personnel, il consulte un spécialiste en Thaïlande. D’après les examens médicaux réalisés sur place, son taux de PSA est tombé à 3,8 et aucune cellule cancéreuse active n’aurait été détectée.

Le médecin qui le suit, bien que surpris par cette régression, reste prudent et évite de valider officiellement l’efficacité de son approche. Il lui conseille néanmoins de poursuivre ses habitudes.

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L’auteur du témoignage conclut en affirmant avoir guéri son cancer par ses propres moyens. Il invite ceux qui souffrent d’un cancer de la prostate à s’informer et à explorer d’autres pistes que les traitements conventionnels.