Le chiffre est énorme. Ces 100 milliards de dollars de recettes ne sont pas de bon augure pour espérer voir une réelle solution thérapeutique au cancer dans un futur proche. Les entreprises pharmaceutiques se gavent sur le dos de patients condamnés à devenir une source de revenus. Le malade est rentable, très rentable…
Le cancer rapporte bien plus aujourd’hui qu’il ne le ferait si un traitement efficace voyait le jour. Triste réalité d’une société dont l’industrie empoisonne les gens avant de les « banquabiliser » jusqu’au dernier souffle de leur vie.
Les critiques de la médecine moderne sonnent comme un cri d’alerte sur le manque de sérieux de la science médicale et de l’industrie du médicament pour trouver des remèdes pour le cancer. Pendant ce temps, le nombre de personnes touchées par la maladie continue de progresser. Au début du 20ème siècle, 1 personne sur 20 déclarait un cancer, dans les années 1940 c’était 1 sur 6, dans les années 1970 c’était 1 sur 10. Aujourd’hui, 1 personne sur 3 déclarera un cancer au cours de sa vie.
100 milliards de dollars qui ne présagent rien de bon
Au total, l’Organisation Mondiale de la Santé a estimé que près de 14 millions de nouveaux cas de cancer sont diagnostiqués dans le monde chaque année. Ce nombre devrait grimper de près de 70% au cours des 20 prochaines années.
Malgré les milliards consacrés à la recherche et tous les progrès technologiques que nous avons réalisés au cours des dernières années, ce fléau continue de s’étendre. Comme l’a rapporté la chaîne NBC News, les dépenses pour les médicaments et traitements du cancer ont dépassé 100 milliards de dollars en 2014 , une « nouvelle étape ». Dans les faits, l’augmentation des dépenses pour le cancer atteint 10% chaque année.
Des nouveaux traitements à 12 000 dollars par mois
Récemment, deux nouveaux traitements appelés immunothérapies ont vu le jour. Ils forment une nouvelle classe de médicaments, en mobilisant le système immunitaire pour combattre le cancer. Ils s’agit de l’Opdivo, fabriqué par Bristo-Myers Squibb et le Keytruda, fabriqué par Merck. Pour chacun des deux, il en coûte 12 000 dollars pour un traitement d’un mois !
Quand on diagnostique le cancer à un américain aujourd’hui et qu’il décide de faire confiance au système médical pour se soigner, il peut dire adieu à ses économies, voire même à son patrimoine. Même s’il a une assurance santé, il finit bien souvent sans argent. Soit il survit et devient fauché, soit il décède fauché.
De plus, en dépit des dépenses de traitements, le taux de survie du cancer n’est toujours pas acceptable. A cinq ans le taux de survie des malades du cancer n’est que de 65%. Cela signifie que les 35% de patients restants meurent dans les 5 premières années suivant le diagnostique. Pour certaines formes de cancer très mal soignées, le taux de mortalité est extrêmement élevé.
La mal-bouffe : l’ennemi identifié
En 2014 Etats-Unis il y aurait eu 1 665 540 nouveaux cas diagnostiqués et 585 720 morts du cancer – en France pour la même période : 355 000 nouveaux cas déclarés et 148 378 décès déplorés. Pour Mike Adams, éditeur de Natural News, l’une des principales raisons expliquant le nombre de cas de cancer réside dans les aliments toxiques que nous mangeons :
Une des principales causes du cancer en Amérique réside dans l’alimentation de plus en plus toxique, même dans les établissements de santé.
Il explique qu’il y a de la nourriture réellement dangereuse qui est servie actuellement dans les cafétérias des centres du cancer, des hôpitaux, des cliniques, et bien sûr, des écoles publiques, à travers tout le pays. Il ironise sur le système de santé de son pays en le comparant plutôt à « un système de la maladie ».
Qu’en est-il en France dans les cantines des établissements publiques ? L’Etat français empoisonnerait-il ses enfants, depuis l’école où ils sont éduqués, jusque dans les hôpitaux où ils viennent pour recevoir des soins ?
Sources:
endoftheamericandream.com
www.cbsnews.com
www.cnn.com
www.who.int
www.nbcnews.com
healthimpactnews.com
Crédit : mieux-vivre-autrement.com