Le Tramadol : cet antidouleur qui vous veut du mal

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Depuis que le Di-Antalvic a été retiré du marché en 2011, un autre antidouleur est venu le remplacer dans nos pharmacies : le Tramadol.

Ce médicament est utilisé par les patients pour faire face aux douleurs articulaires et le mal de dos. Depuis sa distribution, ses effets secondaires sont minutieusement surveillés par l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé et le bilan est tombé : le Tramadol a des effets secondaires dangereux.

Les patients qui en ont consommé régulièrement ont constaté une forte addiction à ce dérivé de l’opium,  troubles du sommeil, vomissements, désorientation, dépression, fatigue, et même des problèmes rénaux et intestinaux ont été constatés.

Depuis le retrait du Di-Antalvic du marché, le Tramadol est commercialisé en France sous cette même appellation, ou comme principe actif d’une vingtaine d’autres médicaments comme Tropalgic, le Contramal ou Ixprim. Un patient français qui en prenait régulièrement confie : «  Personne ne m’avait prévenu des effets addictifs. J’ai augmenté les doses et je suis devenu complètement accro. » Il s’en est sorti par lui-même en arrêtant la consommation, au prix de dix jours de cauchemars.

En somme, le Tramadol n’est pas le premier médicament à faire scandale. Nombreux sont ceux qui ont même été la cause n°1 de cas de cancer et de malformation fœtale. Si vous pouvez éviter ce genre de médicament, n’en prenez pas. Votre vie est en jeu.

Sources:
www.eddenya.com
www.sante-nutrition.org
www.sante-nutrition.org

Un commentaire

  1. Jack dit :

    10 jours de cauchemar? Si on arrête du jour au lendemain, c’est plutôt normal, c’est une morphinique. Il suffit de réduire les doses progressivement sur plusieurs jours ou semaines et on arrête sans problème. L’arrêt progressif change tout. C’est pareil pour les antidépresseurs, anxiolytiques et autres médicaments addictifs. Vers la fin du sevrage, on peut même ouvrir les cachets pour n’en prendre que la moitié ou un tiers. Suffit d’y penser. Arrêter d’un coup sec, c’est vraiment se faire du mal pour rien.

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