Est-ce que les mammographies sauvent des vies?
Plusieurs études ces quelques dernières années ont conclu que les mammographies ne sauvent pas de vies, et peuvent en réalité faire plus de mal aux femmes qu’elles ne les aident, merci aux faux positifs, sur-traitements et cancers induits par les radiations.
Selon une recherche (1) publiée en 2010, la réduction de la mortalité due aux mammographies était faible, voire non existante, à peine 2,4 décès pour 100 000 personnes / an ont été épargnés.
Une autre étude (2) publiée dans The Lancet Oncology en 2011 a démontré, pour la première fois, que les femmes qui recevaient le plus de mammographies avaient une incidence cumulative de cancer du sein plus élevée dans les six années qui suivent que celles du groupe de contrôle qui recevaient beaucoup moins de mammographies.
Maintenant, les chercheurs de Harvard et Dartmouth ont publié un article (3) dans lequel ils présentent des conclusions similaires.
Les mammographies n’ont aucun impact sur la mortalité par cancer du sein
Après avoir analysé les données des registres sur le cancer pour 16 millions de femmes dans 547 comtés des Etats-Unis, ils n’ont trouvé « aucune corrélation évidente entre les quantités de mammographies et la mortalité par cancer du sein à 10 ans ».
Les chercheurs ont conclu que les mammographies d’une part ne trouvaient que des petites tumeurs, typiquement bénignes, ou non mortelles, conduisant à des sur-diagnostics étendus.
Comme cela a été expliqué par le Dr Otis Webb Brawley, le directeur médical de la Société sur le Cancer Américain et auteur du livre Comment nous nuisons (How do we harm), le terme « surdiagnostic » en médecine du cancer se réfère à:
« …une tumeur qui répond à tous les critères de laboratoire pour être appelée cancer mais, si on n’y touche pas, ne causerait jamais aucun problème de santé à la personne. C’est une tumeur qui ne va pas continuer à évoluer, s’étendre et tuer. C’est une tumeur qui peut être guérie par un traitement mais n’a pas besoin d’être traitée et/ou guérie. »
De plus, faisant également écho aux résultats trouvés en 2011, de plus hauts taux de mammographies étaient associés à une plus grande incidence de cancer du sein. Comme cela a été rapporté par le LA Times: (4)
« Pour chaque augmentation de 10 points de pourcentage dans les taux de dépistage, l’incidence du cancer du sein a augmenté de 16 pour cent…. ce qui s’est traduit par une augmentation de 35 à 49 cas de cancers de sein pour 100 000 femmes.
Les chercheurs ont également examiné les cancers du sein en fonction de leur stade au moment du diagnostic, qui est un marqueur de l’agressivité de la tumeur. Une augmentation des mammographies était associée à une incidence plus élevée de cancers du sein à un stade précoce, mais à aucun changement pour les tumeurs à un stade ultérieur, selon l’étude.
Comment cela est-il possible?
« L’explication la plus simple est le sur-diagnostic généralisé, qui augmente l’incidence des petits cancers sans changer la mortalité, » ont écrit les auteurs de l’étude. « Même là où il y a 1,8 fois plus de cancers diagnostiqués, la mortalité est la même ».
Mammo ou pas mammo?
De toute évidence, la question du dépistage du cancer du sein par mammographie peut être un sujet très sensible. Pratiquement toutes les discussions relatives au cancer le sont. Un récent article du magazine Forbes (5) fait un tableau frappant des craintes de la plupart des femmes, et met en garde contre les dangers de ne pas obtenir de diagnostic à temps.
Alors que cela doit être un choix individuel, je crois qu’il peut être utile de prendre un peu de recul et d’avoir une image d’ensemble, qui comprend des statistiques sur la population, telles que celles présentées plus haut.
Il est également bien utile d’examiner toutes les options disponibles et, bien sûr, de peser les risques et les avantages associés à chacune. Comme cela a été rapporté dans le magazine Care2: (6)
« Les auteurs de l’étude… optent pour un équilibre bénéfices / risques et croient que la mammographie est probablement plus favorable lorsqu’elle cible les femmes à risque élevé – pas trop rarement et pas trop souvent.
Ils croient aussi qu’une attente vigilante, plutôt qu’un traitement actif immédiat est probablement une bonne option dans certains cas ».
Une objection principale à la mammographie est le fait qu’ils utilisent des rayonnements ionisants pour prendre des images de vos seins, et c’est un fait bien établi que les rayonnements ionisants peuvent causer le cancer.
Donc, l’idée selon laquelle la « meilleure » façon pour vous d’éviter de mourir du cancer est de vous exposer à un rayonnement favorisant le cancer régulièrement pendant des décennies (afin de déceler le cancer précocément), cette idée démontre elle-même sa faille de logique – en particulier car il existe des techniques d’imagerie sans rayonnements ionisants qui sont disponibles.
Les résultats publiés dans le British Medical Journal (BMJ) (7), en 2012, montrent que les femmes porteuses d’une mutation du gêne spécifique appelée BRCA1/2 sont particulièrement vulnérables aux cancers induits par les radiations.
Les femmes porteuses de cette mutation qui ont été exposées au diagnostic par rayonnements avant l’âge de 30 ans étaient deux fois plus susceptibles de développer un cancer du sein que celles qui ne portent pas le gêne muté.
Ils ont également trouvé que les cancers induits par radiation dépendaient des doses, ce qui signifie que plus la dose est élevée, plus le risque de développer un cancer est élevé. Les auteurs ont conclu que:
« Les résultats de cette étude appuient l’utilisation de techniques d’imagerie par rayonnement non ionisant -(telles que l’imagerie par résonance magnétique) comme principal outil pour la surveillance chez les jeunes femmes porteuses des mutations BRCA 1/2. »
Les mammographies ne réduisent pas plus la mortalité que l’examen physique
L’an dernier, l’une des enquêtes les plus longues et les plus importantes au sujet de la mammographie a été publiée. (8)
Elle a impliqué 90 000 femmes qui ont été suivies pendant 25 ans, et elle a envoyé une onde de chocs à travers l’industrie médicale quand elle a signalé que les taux de mort par cancer du sein étaient pratiquement identiques parmi les femmes qui se faisaient faire une mammographie annuelle et celles qui ne la pratiquaient pas.
En outre, elle a constaté que la mammographie de dépistage avait eu des effets néfastes. Comme l’a rapporté The New-York Times: (9)
« Un cancer sur cinq trouvés avec la mammographie et traités ne représentaient pas une menace pour la santé de cette personne et ne nécessitait pas de traitement tel que la chimiothérapie, la chirurgie ou la radiothérapie ».
Au début de l’étude, les femmes, âgées de 40-59 ans, ont été randomisées pour recevoir soit cinq mammographies annuelles, ou un examen annuel physique des seins sans mammographie. Pendant le cours de l’étude, 3250 femmes ont reçu une mammographie avec un diagnostic de cancer du sein, par rapport à 3 133 dans le groupe sans mammographie.
Parmi ces femmes, 500 femmes dans le groupe avec mammographie, et 505 dans le groupe témoin, sont mortes de la maladie. Cependant, après 15 ans de suivi, le groupe avec mammographie avait encore 106 diagnostics de cancers supplémentaires, qui ont été attribués à un surdiagnostic. Selon les auteurs: (10)
« La mammographie annuelle chez les femmes âgées de 40-59 ans ne réduit pas la mortalité par cancer du sein davantage que l’examen physique ou les soins habituels lorsque le traitement adjuvant du cancer du sein est disponible gratuitement. Dans l’ensemble, 22% des cancers invasifs détectés par mammographie ont été sur-diagnostiqués, représentant un sur-diagnostic de cancer du sein pour 424 femmes qui avaient eu la mammographie dans l’étude. »
Le taux de surdiagnostic (22 %) est pratiquement identique à celui trouvé dans une étude Norvégienne de 2012 (11) qui a trouvé que jusqu’à 25 % des femmes sont systématiquement surdiagnostiquées de cancer du sein qui, s’il ne recevait pas plus d’attention, ne causerait aucune suite défavorable. D’autres études sont parvenues à des conclusions similaires et parmi elles:
- En 2007, les Archives of Internal Medicine (12) ont publié une méta-analyse de 117 études randomisées des contrôles par mammographie. Parmi ses conclusions: les taux de résultats faussement posiifs sont élevés (20-56 % après 10 mammographies).
- Une méta-analyse de 2009 par la base de donnée des révisions Cochrane (13) a constaté que le dépistage du cancer du sein a conduit à un taux de 30 % de surdiagnostic et de surtraitement qui a augmenté le risque absolu de développer un cancer de 0,5 %.. L’examen a conclu que pour chaque 2000 femmes invitées pour le dépistage pendant une période de 10 ans, la durée de vie de seulement une femme a été prolongée, tandis que 10 femmes en bonne santé ont subi un traitement inutile.
Apprenez à reconnaître les signes et les symptômes du cancer du sein
Les mammographies peuvent aussi ne pas détecter la présence du cancer. Selon le National Institute of Cancer (NCI), jusqu’à 20 % des cancers du sein présents au moment de l’examen, ne sont pas constatés par les mammographies. Votre risque d’un faux négatif est particulièrement élevé si vous avez un tissu mammaire dense, et on estime que cela concerne 49 % des femmes (14). La sensibilité de la mammographie pour les seins denses est aussi basse que 27 % (15) ce qui signifie qu’environ 75 % des femmes qui ont une poitrine dense risquent de ne pas être informées de la présence d’un cancer si elles ne se fient qu’à la mammographie. Et en plus, avec une mammographie numérique, la sensibilité de l’appareil est encore inférieure à 60 %.
Compte-tenu du fait que les taux de mortalité par cancer du sein sont pratiquement identiques que vous ayez une mammographie annuelle ou un examen physique annuel, l’Institut suggère que l’examen physique est de loin le plus protecteur pour la détection d’un cancer potentiel. C’est certainement du bon sens de vous familiariser avec vos seins et avec les signes et symptômes du cancer du sein (16) (17). Si vous remarquez l’un des symptômes suivants, même si ce n’est pas encore le moment de votre check up annuel, assurez-vous d’en parler à votre médecin.
- Boule dans le sein (gardez à l’esprit que les boules dans les seins sont fréquentes et la plupart ne sont pas cancéreuses)
- Douleur ou sensibilité inhabituelle ou enflure dans le sein
- Mamelon rétracté
- Douleurs vaginales
- Capitonnage de la surface du sein, et/ou texture en « peau d’orange »
- Veines visibles sur le sein
- Changement de taille ou de forme du sein
- Ganglions lymphatiques plus gros (situés à l’aisselle)
- Perte de poids involontaire
Optimisez votre vitamine D pour la prévention du cancer du sein
Même si la détection et le diagnostic du cancer du sein sont certainement importants, et que le traitement précoce a une plus grande chance de succès, la prévention est vraiment la clé, et là, vous pouvez exercer un très grand pouvoir sur votre propre destin. Dans la plus grande revue de la recherche sur les liens entre le mode de vie et le cancer du sein, The American Institute of Cancer Research a estimé qu’environ 40 % des cas de cancers du sein aux Etats-Unis pourraient être évités si les gens adoptaient des choix de vie plus sages. Je pense que c’est une estimation très prudente.
Il est probable que 75 à 90 % des cancers du sein pourraient être évités en appliquant strictement les recommandations ci-dessous, surtout si elles sont suivies dans leur ensemble dans le cadre d’un mode de vie sain. Simplement optimiser votre niveau de vitamine D s’est avéré réduire les risques de cancer du sein d’au moins 50 % et double vos chances de survivre à un cancer du sein si vous en receviez le diagnostic.
La vitamine D influence pratiquement toutes les cellules de votre corps et est l’un des combattants du cancer les plus puissants de la nature. Il est réellement en mesure d’entrer dans les cellules cancéreuses et de déclencher l’apoptose (mort cellulaire). La vitamine D agit également en synergie avec tous les traitements du cancer que je connaisse, sans aucun effet indésirable. Le niveau moyen de vitamine D trouvé chez les patientes Américaines du cancer du sein (18) est de 17 ng/ml, ce qui est très très loin d’un niveau plus optimal de 40-50 ng/ml.
Alors, s’il-vous-plaît, assurez-vous de surveiller régulièrement vos niveaux de vitamine D et de prendre une quantité de vitamine D3 dont vous avez besoin pour maintenir un niveau cliniquement pertinent. (Souvenez-vous que vous avez également besoin de prendre de la vitamine K2 si vous prenez un supplément de vitamine D par voie orale au lieu d’une exposition régulière au soleil).
NIVEAUX DE VITAMINE D 25 HYDROXY D
- Déficient: ≤ 50 ng/ml
- Optimal: 50-70 ng/ml
- Traiter le cancer et les maladies cardiaques: 70-100 ng/ml
- Excès: ≥100 ng/ml
Multipliez ng/ml par 2,5 pour convertir en nmol/litre
Autres conseils de prévention du cancer du sein
D’autres aspects importants de style de vie peuvent aider à réduire vos risques de cancer du sein!
Mangez de la VRAIE nourriture
Un principe alimentaire clé pour une santé optimale et la prévention de la maladie est de manger de la vraie nourriture. Choisissez de préférence de manger local, des aliments biologiques frais. Cela implique aussi d’éviter tous les types d’aliments transformés, qui peuvent contenir des quantités d’ingrédients toxiques pour la santé, allant du sucre raffiné au fructose transformé, les ingrédients génétiquement modifiés, les pesticides cancérigènes et des dizaines de milliers d’additifs alimentaires qui n’ont pas été testés pour la sécurité.
Le sucre raffiné est préjudiciable à votre santé en général et favorise le cancer. En règle générale, limitez votre consommation totale de fructose à moins de 25 grammes par jour. Si vous avez un cancer ou êtes résistant à l’insuline, il serait sage de limiter à 15 grammes ou moins.
Envisagez de réduire votre apport en protéines à un gramme par kilogramme de poids corporel maigre. Remplacez les protéines et les sucres (glucides) par des graisses de haute qualité, telles que les oeufs de poules élevées en liberté et bio, des viandes de haute qualité, les avocats et l’huile de coco. Il y a des preuves convaincantes qu’un régime cétogène (à base de graisses) aide à prévenir et traiter les nombreuses formes de cancer.
Pensez également à ajouter plus d’aliments, de plantes et d’épices anti cancer à votre alimentation, comme le brocoli. Pour en savoir plus sur la façon dont les aliments anti-angiogéniques luttent contre le cancer, voyez s’il-vous-plaît notre précédent article « une efficacité spectaculaire de la nouvelle façon naturelle d’affamer le cancer et l’obésité« .
Consommez beaucoup de vitamine A naturelle
La vitamine A peut également jouer un rôle en aidant à prévenir le cancer du sein. (19) Il est préférable de l’obtenir d’aliments riches en vitamine A plutôt qu’un supplément. Vos meilleures sources sont des jaunes d’oeufs bio, du beurre au lait cru bio, et du boeuf bio ou du foie de poulet bio.
Méfiez-vous des suppléments car il y a des preuves qu’un excès de vitamine A peut réduire les bienfaits de la vitamine D. Comme les niveaux corrects de vitamine D sont cruciaux pour votre santé en général, et pour prévenir le cancer, cela signifie qu’il est essentiel d’avoir le bon ratio de vitamine D par rapport à la vitamine A dans votre corps.
Idéalement, vous voudrez fournir à votre corps toute la vitamine A et vitamine D dont votre corps a besoin de façon à ce que votre corps régularise les deux systèmes naturellement. Le meilleur moyen, c’est de manger des légumes colorés (pour la vitamine A) et en exposant la peau au soleil de façon appropriée chaque jour (pour la vitamine D).
Consommez suffisamment d‘iode
L’iode est un oligo-élément essentiel requis pour la synthèse des hormones et une insuffisance d’iode peut aussi provoquer ou contribuer à un certain nombre de problèmes de santé, y compris le cancer du sein. C’est parce que vos seins absorbent beaucoup d’iode, dont ils ont besoin pour le fonctionnement cellulaire. La carence ou l’insuffisance en iode dans les tissus va conduire à un dysfonctionnement de ces tissus et des tumeurs sont une possibilité.
Cependant, il y a une importante controverse sur le dosage approprié, vous devez donc faire preuve de prudence. Il y a des preuves indiquant que la prise de méga-doses, comme des dizaines de milligrammes peut être contre-productive. Une étude récente suggère qu’il pourrait ne pas être sage de prendre plus de 800 mcg d’iode par jour et se complémenter avec 12-13 mg (12000-13000mcg) pourrait avoir des effets néfastes sur la santé.
Nourrissez vos intestins
Optimiser votre flore intestinale permettra de réduire l’inflammation et de renforcer votre réponse immunitaire. Les chercheurs ont trouvé un mécanisme dû à des microbes par lequel certains cancers développent une réponse inflammatoire alimentant le développement et la croissance de ces organismes.
Ils suggèrent qu’inhiber les cytokines inflammatoires pourrait ralentir la progression du cancer et améliorer la réponse à la chimiothérapie. Ajouter des aliments naturellement fermentés à votre alimentation quotidienne est un moyen facile de prévenir le cancer ou d’accélérer sa guérison. Vous pouvez toujours ajouter aussi un supplément de probiotiques de haute qualité, mais les aliments fermentés naturellement sont le meilleur choix.
Evitez les xenoestrogènes
Les xéonoestrogènes sont des produits chimiques synthétiques qui imitent les oestrogènes naturels. Ils ont été liés à un large éventail d’effets sur la santé humaine, y compris la réduction du nombre de spermatozoïdes chez les hommes et le risque accru de cancer du sein chez les femmes. Il existe un grand nombre de xénoestrogènes, comme les hormones bovines de croissance dans l’industrie laitière commerciale, les matières plastiques comme le bisphénol-A (BPA), les phtalates et les parabènes dans les produits de soins personnels et des produits chimiques utilisés dans les matériaux anti-adhérents, pour n’en citer que quelques-uns.
Evitez de griller vos viandes
La viande grillée au charbon de bois ou à la flamme est liée à un risque accru de cancer du sein. Les acrylamides – des cancérigènes créés lorsque des féculents sont cuits, rôtis, frits se sont avérés augmenter le risque de cancer du sein également.
Evitez les produits au soja non fermenté
Le soja non fermenté est riche en oestrogènes végétaux, ou phytoestrogènes, aussi connus sous le nom d’isoflavones. Dans des études, le soja semble agir de concert avec les oestrogènes humains pour augmenter la prolifération des cellules cancéreuses, ce qui augmente les risques de mutation de cellules.
Buvez un litre de jus de légumes verts chaque jour
Consultez mes conseils de préparation des jus pour des informations plus détaillées.
Prenez assez d’oméga-3 d’origine animale de haute qualité
Un manque d’omega-3 est un facteur sous-jacent commun pour le cancer.
Prenez de la curcumine
C’est le principe actif du curcuma et à des concentrations élevées, elle peut être très utile dans le traitement du cancer du sein. elle montre un immense potentiel thérapeutique dans la prévention des métastases du cancer du sein. (20) Pour en savoir plus à propos de son utilisation pour la prévention du cancer, veuillez voir mon entretien avec le Dr William LaValley.
Evitez de boire de l’alcool
Ou au moins, limitez vos boissons alcoolisées à une par jour.
Améliorez la sensibilité de vos récepteurs dà l’insuline et à la leptine
Un élément clé est une alimentation saine, bio et pauvre en sucres ajoutés (les cellules cancéreuses adorent le sucre). L’exercice régulier va également stimuler la sensibilité optimale à l’insuline et à la leptine.
Evitez de porter des soutien-gorge à armature métallique
Il y a des données intrigantes suggérant que les baleines métalliques des soutien-gorge augmentent votre risque de cancer du sein.
Evitez les champs électro-magnétiques
Des éléments tels que les couvertures électriques et les téléphones portables peuvent être particulièrement gênants et augmenter votre risque de cancer. Ne mettez surtout pas votre téléphone dans votre soutien-gorge pendant la journée!
- 1 New England Journal of Medicine September 23, 2010;363(13):1203-10.
- 2 Lancet Oncology November 2011;12(12):1118-24
- 3 JAMA July 06, 2015. doi:10.1001/jamainternmed.2015.3043
- 4 LA Times July 6, 2015
- 5 Forbes July 16, 2015
- 6 Care2 July 13, 2015
- 7 BMJ 2012 Sep 6;345:e5660
- 8 BMJ 2014;348:g366
- 9 New York Times February 11, 2014
- 10 BMJ 2014;348:g366
- 11 Annals of Internal Medicine April 3, 2012;156(7):491-9
- 12 Ann Intern Med. 3 April 2007;146(7):516-526
- 13 Cochrane Database of Systematic Reviews October 7, 2009; (4):CD001877
- 14 Analysis of Parenchymal Density on Mammograms in 1353 Women 25-79 Years Old.
- 15 Diagnostic Accuracy of Digital vs. Film Mammography: Exploratory Analysis of Selected Population Subgroups in DMIST.
- 16 Nationalbreastcancer.org Signs and Symptoms
- 17 Healthline.com
- 18 UC San Diego Health System Press Release March 6, 2014
- 19 Journal of the National Cancer Institute (2005) 97 (1): 1.
- 20 Clinical Cancer Research October 15, 2005 11; 7490
Par le Dr. Mercola