Vaccins et dommages neurologiques

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Les vaccinations sont particulièrement neurotoxiques. Elles ont été associées à de nombreux troubles neurologiques, comme des encéphalopathies, l’épilepsie, les convulsions, l’autisme, la déficience mentale, la dépression, l’anxiété, les troubles du système nerveux central, la paralysie, le Syndrome de Guillain-Barré, la surdité, la cécité, le trouble du déficit de l’attention et la mort subite du nourrisson (MSN). Les troubles neurologiques associés aux vaccinations sont divers et nombreux. Les vaccinations abaissent les niveaux de QI et contribuent à créer des troubles mentaux, ainsi que les maladies neurologiques énumérées plus bas.

La relation entre vaccinations, encéphalopathies et maladies neurologiques ont fait leur apparition dans les revues médicales depuis l’avènement des programmes de vaccination de masse. L’autisme était inconnu avant la vaccination et s’est développé très parallèlement aux vaccinations de masse. Le trouble du déficit de l’attention et les troubles de l’apprentissage chez les enfants sont attribués aux vaccinations de l’enfance, de même que les convulsions, les paralysies et l’épilepsie. Les lésions cérébrales constituent de loin un des effets secondaires graves le plus fréquemment associé à la vaccination, bien que leur nombre exact ne soit pas toujours fidèlement rapporté.

Troubles neurologiques induits par les vaccinations: 

  • Encéphalite
  • Ataxie/apraxie
  • Retard de développement
  • Méningite/Paralysie
  • Polio paralytique
  • Syndrome de Guillain-Barré
  • Lupus
  • Hyperactivité – Trouble de l’apprentissage
  • Maladies démyélinisantes
  • Maladies auto-immunes, épilepsie
  • Convulsions
  • Cécité
  • Surdité
  • Mort subite du nourrisson
  • Confusion mentale – Abaissement du QI
  • Tumeurs cérébrales (SV-40)

La liste qui provient de différentes sources  n’est pas exhaustive.

Les encéphalopathies associées aux vaccinations peuvent aller d’une maladie neurologique manifeste à des pleurs avec cris perçants (fréquents après vaccination) qui sont le signe non reconnu d’une souffrance cérébrale. En d’autres mots, on prétend que ces cris sont juste le signe que l’enfant « a réagi à l’aiguille » !

Il est normal d’avoir peur des vaccinations. Il y a combien d’encéphalites, de neuropathie, de dysfonctions cérébrales, de pleurs avec cris perçants qui ne sont pas normales et qui en outre ne sont pas prises en compte ?

Les lésions cérébrales provenant des vaccins ont un caractère épidémique et pourtant, aux Etats-Unis (mais aussi ailleurs), les médecins ne sont guère prompts à diagnostiquer les troubles neurologiques quand les vaccinations sont en cause, bien que la littérature rapporte cependant de nombreux changements négatifs après les vaccinations.

Ted Koren, DC a déclaré : « La dyslexie, les lésions cérébrales bénignes, les troubles de l’attention, l’autisme, les allergies, les problèmes visuels et autres maladies neurologiques qui sont regroupées sous le vocable « troubles du développement » existaient à peine avant les programmes de vaccination de masse. Il est probable que vingt pour cent des enfants américains, soit un enfant sur cinq souffre de « troubles du développement » C’est là un chiffre stupéfiant. Ces problèmes sont presque toujours générés par des encéphalites. »

La principale cause des encéphalites aux Etats-Unis et autres pays industrialisés, ce sont les programmes de vaccination des enfants.

Pour être plus précis, une grande partie des millions d’enfants et d’adultes américains souffrant d’autisme, de convulsions, de retard mental, d’hyperactivité, de dyslexie et autres troubles du développement, doivent leurs troubles à l’un ou l’autre des vaccins contre les maladies d’enfance. »

Il y a environ 40-50 ans, on ne vaccinait pas les enfants à un âge aussi précoce qu’aujourd’hui. A cette époque, les troubles neurologiques étaient très rares. Aujourd’hui, les enfants sont vaccinés à la naissance pour l’hépatite B. Aujourd’hui, c’est à deux mois, ils commencent leur long périple vaccinal avant que la barrière hémato-encéphalique soit complètement formée. Dans la littérature médicale du monde entier, il est facile de trouver pas mal d’articles qui établissent un lien entre les vaccinations et les dommages neurologiques. Avant les années 1940, l’autisme était extrêmement rare ; certains n’en avaient même jamais entendu parler. C’est au milieu des années 1940 que les programmes de vaccinations massives ont été lancés et que l’autisme est « né ». Au début, l’autisme n’est apparu que chez des enfants de familles riches, du fait que les vaccinations n’étaient pas gratuites ni parrainées par le gouvernement comme c’est le cas aujourd’hui. Plus tard, l’autisme est devenu une maladie qui a touché toutes les classes de la société (avec les programmes de vaccination subventionnés par le gouvernement.)

Au début, les psychiatres ont baptisé l’autisme « Syndrome de la mère- réfrigérateur ». Ils disaient que ces mères n’avaient guère de cœur ce qui favorisait le fait que son enfant se coupe de la société et devienne autiste. Des études n’ont cependant pas pu appuyer ces théories car de nombreuses familles n’avaient qu’un seul enfant autiste parmi d’autres enfants tout à fait normaux. Ces gens n’avaient pas compris que c’étaient les aiguilles froides des médecins qui provoquaient les problèmes et non le cœur froid des mères.

[…] Les enfants autistes produisent des anticorps qui vont attaquer leur propre cerveau, donc créer une maladie auto-immune. Singh a compilé l’étude anecdotique (non scientifique) de 88 enfants autistes dont les familles avaient pris contact avec lui. Parmi ces parents, 51% ont déclaré que les symptômes de l’autisme sont apparus peu de temps après la vaccination ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole). Pour 36% d’entre eux, les problèmes avaient commencé peu de temps après la vaccination DTC (Diphtérie, Tétanos, Coqueluche). Les preuves que présentent ces documents anecdotiques désignent clairement les vaccins comme étant la cause de l’autisme. La relation entre autisme et vaccination ne peut être niée.

Le vaccin contre la coqueluche est particulièrement neurotoxique. Il est utilisé dans les laboratoires pour provoquer des lésions cérébrales chez les animaux de laboratoire afin de pouvoir les étudier. Mais si c’est chez votre enfant qu’apparaissent des problèmes cérébraux après une vaccination DTC, votre médecin vous dira qu’il s’agit d’une coïncidence ou que c’est un problème génétique. On sait que les vaccinations ont contribué à augmenter les problèmes de démyélinisation, un processus lié à de nombreuses maladies neurologiques. La sclérose en plaques est en fait une maladie démyélinisante. La myéline est destinée à protéger le revêtement extérieur des neurones, comme le revêtement extérieur en plastic d’un fil électrique. Lorsque cette myéline est endommagée, des troubles neurologiques peuvent apparaître comme la sclérose en plaques, des paralysies ou des scléroses latérales amyotrophiques (SLA).- (Singh a mentionné l’autisme à la suite de troubles de démyélinisation). Dans ces cas, les nerfs sont en quelque sorte court-circuités et ne fonctionnent plus normalement.

Les encéphalites dues aux vaccinations sont beaucoup plus répandues que ce que peut imaginer le public étant donné que tous les vaccins sont neurotoxiques. Qu’un enfant développe une encéphalopathie à la suite d’un vaccin et qu’un autre enfant reste indemne n’est pas le problème. Tous les enfants sont touchés, mais certains le sont plus que d’autres. Si par exemple, un enfant présente des pleurs avec des cris perçants après un vaccin, la chose sera présentée comme étant une réaction normale et classée comme telle dans les textes médicaux. Mais si le même enfant a un développement  plus lent de la parole, de l’apprentissage, de la marche, qui va pouvoir faire le lien ?  Les enfants non vaccinés marchent plus tôt, parlent plus tôt, possèdent une dextérité manuelle plus avancée.

Leurs cerveaux ne sont pas attaqués par les neurotoxines que la plupart des enfants « normaux » reçoivent. Les vaccinations provoquent des œdèmes du cerveau ; ce sont en fait des « encéphalites » quel que soit le diagnostic…. Pendant la période qui succède aux vaccinations infantiles, le cerveau des enfants peut perdre de l’espace à l’intérieur du crâne, à cause de la compression due à l’œdème qui augmente. Pourquoi le cerveau d’une personne vaccinée gonflerait-il ? Les quatre points qui signalent une infection sont : la douleur, la rougeur, la fièvre et le gonflement. Les infections du cerveau peuvent aussi produire ces symptômes.

Sources:
Dr. Mercola
Expovaccins

2 commentaires à “Vaccins et dommages neurologiques”

  1. Abaq dit :

    Bonjour,
    il est toujours difficile de prouver des corrélations, surtout lorsque de nombreux facteurs interviennent, comme c’est souvent le cas en médecine et dans le domaine de la santé..

    Concernant par exemple vos affirmations sur le lien entre vaccination et autisme, tous les experts ne sont pas d’accord. On pourra par exemple consulter cet article grand public ( http://www.europe1.fr/international/vaccins-et-autisme-une-etude-confirme-l-absence-de-lien-2434023 ) qui fait référence à une étude portant sur 95.000 enfants, et publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).
    Cette étude confirme que la vaccination ROR ne fait pas augmenter le risque de développer des troubles du spectre autistique (TSA).

    L’affirmation selon laquelle la vaccination ROR augmente le risque d’autisme vient d’une enquête publiée dans le « Lancet », dont il a été démontré par la suite que certaines données avaient été faussées.

    Chacun se fera son opinion. Après, c’est comme pour tout, dans le domaine de la santé, il faut apprécier le risque potentiel et le bénéfice, et prendre sa décision en fonction de ce qui l’emporte.

    Bonne journée.

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